Certains députés européens deviennent un instrument dans les mains de quelques milieux.
Le porte-parole du MAE d’Azerbaïdjan Elman Abdullayev en a fait part, en commentant l’adoption de la loi du soi-disant « génocide arménien ».
« Si la France prétend avoir une approche de principe à certaines questions, alors, comme pays coprésident du groupe de Minsk de l’OSCE elle devra examiner la question du génocide de Khodjali», a dit Abdullayev.
Jeudi, le parlement français a adopté la loi sur la pénalisation de la négation du soi-disant « génocide arménien », annonce la chaine de télévision CNN Turc.
En début décembre, les députés du Parti du Président français l’UMP, constituant la majorité parlementaire, ont présenté à la commission législative de l’Assemblée Nationale le projet de la loi dont le but est de criminaliser la négation du « génocide arménien ».
Les arméniens et le lobby arménien affirment, qu’en 1915, le prédécesseur de la République turque, l’Empire Ottomane, a commis « le génocide » contre les arméniens, habitant en Anatolie et avaient obtenu la reconnaissance de ces événements de génocide par les parlements de certains pays.
Les 25-26 février 1992, les forces armées arméniens avec le soutien du régiment russe n°366, disloqué à Khankendi, ont commis un acte de génocide, accompagné de cruauté particulier à l’égard de la population de la ville azerbaïdjanaise de Khodjali, comptant sept mille d’habitants.
En résultat de l’extermination sanglante de la population civile, 613 personnes ont été tuées, 1000 personnes sont devenues invalides à la suite des blessures par balles. Parmi les tués il y avait 106 femmes, 63 enfants, 70 vieillards. Huit familles ont été exterminées complètement, 25 enfants ont perdu les deux parents, 130 enfants ont perdu un parent. Pendant la nuit tragique, 1275 personnes civiles ont été prises en otages, et le destin de 150 est inconnu.
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