jeudi 29 décembre 2011

La conception du concours « Eurovision-2012 » est confirmé

On a confirmé la conception du concours « Eurovision » de la chanson -2012.
« La conception du concours est renouvelée chaque fois par le pays-organisateur. Et, selon cette conception, on élabore le slogan et le symbole », déclare le comité d’organisation du Concours.
Les symboles traditionnellement renouvelés sont rajoutés au logo principal du show. Les deux éléments doivent se rapporter au pays- organisateur du concours et en même temps correspondre à la notion du projet « Eurovision ». Il est important, que le slogan et l’élément visuel suscitent des émotions positives chez les participants et les téléspectateurs.
Élaborés en fonction de ces principes, le slogan et le symbole du concours « Eurovision » de la chanson 2012 reflètent les valeurs de l’Azerbaïdjan.
Actuellement, on finit les travaux de design sur le slogan et le symbole. Prochainement, les deux éléments seront présentés au public.

mercredi 28 décembre 2011

La Sénatrice française a donné un conseil aux victimes de l’agression arménienne

« Les victimes de l’occupation des terres azerbaïdjanaises de la part de l’Arménie chercheront la justice et la réparation de dommage dans les tribunaux français », estime le membre du Sénat français Nathalie Goulet.
« Si le projet de loi sur la pénalisation de la négation « du génocide arménien » est adopté par le Sénat français et est déclaré en tant que loi par la cour constitutionnelle française, je sais exactement, où les victimes de la barbarie arménienne, accomplie sur les terres azerbaïdjanaises, vont demander de la justice —  dans les tribunaux français, a dit N.Goulet à Trend au téléphone.
Selon ses paroles, rien ne peut justifier l’agression arménienne contre l’Azerbaïdjan.
Récemment, le 22 décembre, la chambre basse du parlement français a adopté le projet de loi sur la pénalisation de la négation du soi-disant « génocide arménien ».
Des 577 députés du parlement français, ont voté 45 députés, dont 38 étaient « pour » et 7 « contre » l’adoption de la loi, pénalisant d’un an de prison et de 45 000 euros d’amende ceux qui sont contre le « génocide  des arméniens ».
En commentant la déclaration récente du député du parti au pouvoir l’UMP Patrick Dévedjian, qui a dit, que la  « Turquie était un pays, menaçant le monde entier », N.Goulet a remarqué, que les déclarations pareilles étaient scandaleuses.
« Ce n’est pas admissible, que l’ex-ministre français prononce de telles paroles à l’adresse du pays, ayant des relations diplomatiques avec nous et étant un grand acteur dans la diplomatie internationale », a souligné Goulet.
Selon elle, de la même façon et l’Arménie pourrait être considérée comme une menace.

Le président Ilham Aliyev et son épouse Mehriban Aliyeva ont observé le déroulement de la construction du Centre Heydar Aliyev (photos)

Le 27 décembre, le président Ilham Aliyev et son épouse Mehriban Aliyeva ont vu le déroulement de la construction du Centre Heydar Aliyev au district Narimanov de la capitale.
Ilham Aliyev a été informé des travaux en cours et à faire, conformément au projet. Il a été noté, que les travaux de construction sont effectués selon les dernières normes.
Le chef de l’État a pris connaissance des travaux au Centre et tout autour.
Ce centre est envisagé comme monument historique, portant le nom du fondateur de l’état azerbaïdjanais Heydar Aliyev. Il sera important dans la vie sociopolitique et culturelle du pays. Ici seront organisées des manifestations d’ampleur internationale : conférences, concours, festivals, expositions, concerts et réceptions.

La Fondation Heydar Aliyev et l’Audiovisuel Public azerbaïdjanais ont signé le mémorandum dans le cadre du concours « Eurovision -2012 »

La Fondation Heydar Aliyev et l’Audiovisuel public ITV ont signé le mémorandum sur la coopération dans le cadre de préparation du Concours « Eurovision» de la chanson-2012  qui aura lieu en mai prochain à Bakou.
La Fondation Heydar Aliyev a étudié la demande de l’audiovisuel public et a accepté d’accorder son aide pour l’organisation et le déroulement du concours «Eurovision» de la chanson.
Dès les premiers jours de la participation de l’Azerbaïdjan au Concours « Eurovision» de la chanson, le soutien organisationnel de la Fondation Heydar Aliyev a joué un rôle important dans la représentation réussie du pays à ce concours.
Le  Concours « Eurovision» de la chanson est un événement, qui donne la possibilité de faire connaître au monde le patrimoine historique et culture de l’Azerbaïdjan. De ce point de vue, est importante la coopération dans les domaines organisationnelle et publicitaire avec la Fondation Heydar Aliyev, qui  réalise de grands projets sociaux, ceux de la culture et d’autres.
Le mémorandum signé prévoit employer des spécialistes pour l’organisation et la tenue de différentes actions culturelles, la préparation de la ville de Bakou au concours, le soutien des programmes sociaux traditionnels tels que « Eurovillige », « Euroclub », ainsi que l’engagement d’une équipe de bénévoles.

Le Président de l’Azerbaïdjan a participé à la cérémonie de l’inauguration du musée (photos)

Le 26 décembre, le Président de la République d’Azerbaïdjan et son épouse Mehriban Aliyeva ont participé à l’ouverture du musée, construit à la réserve historique et artistique nationale de Gobustan. Ils ont pris connaissance des travaux de reconstruction effectués sur le territoire.
Citant le site officiel du Président de l’Azerbaïdjan, 1news.az fait savoir, que le Ministre de la Culture et du Tourisme Abulfaz Garayev a informé le Chef de l’état et son épouse du musée.
Le Président Ilham Aliyev et Mehriban Aliyeva ont observé le plan du terrain, prévu pour le tourisme équestre, ainsi que les lieux d’emplacement du musée et du bâtiment administratif.
La surface totale du complexe du musée et du bâtiment administratif construits conformément au décret du Président Ilham Aliyev, fait 2 460 m². Au centre d’information du musée les hôtes peuvent obtenir une information détaillée dans différentes langues, en se servant de l’écran tactile. Il y a une bibliothèque, une chambre noire, un département de recherche scientifique. Dans la salle du musée « Découverte archéologique à Gobustan », on peut observer les processus de découverte et d’étude des pétroglyphes et des fouilles. Les restes humains, des pierres, la vaisselle de porcelaine et d’autres articles, trouvés dans les couches archéologiques, sont très intéressants.

The Gardian: Sarkozy doit confier la question du “génocide arménien » aux historiens

Les historiens français ont condamné les actions des parlementaires du pays, qui ont adopté le projet de la loi criminalisant la négation du « génocide arménien ». Ils ont posé la question aux législateurs : comment peut-on adopter à présent des lois se rapportant au passé ?
Comme l’annonce AZE.az l’édition britannique « The gardian » a publié l’article relatif à la négation du génocide, pénalisant d’un an de  prison et d’une amende de 45 mille euros.
L’édition britannique appelle à juste titre à confier aux historiens la question des événements de 1915 dans les relations arméno-turques. C’est même l’avis de la Turquie, qui est prête à ouvrir ses archives à l’attention de la commission des historiens. L’Arménie évite de le faire, car elle n’a rien à présenter à part les déclarations mal-fondées et les investissements abondants de la diaspora arménienne au problème du « génocide ».
« En 2001, le parlement français a reconnu le « génocide arménien ». Pourtant, les membres du parlement français sont allés plus loin, ayant approuvé le projet de loi, en vertu de laquelle la négation du « génocide arménien » est pénalisé d’emprisonnement et d’une amende. Les historiens français ont condamné cette démarche en majorité. Et si le Premier-ministre turc Recep Tayyip Erdogan est indigné de cette insulte, en intervenant avec l’accusation à l’adresse de la France, alors en France-même on pose une bonne question, la seule qui vaut : comment peut-on écrire des lois pour le passé », écrit l’édition britannique.

lundi 26 décembre 2011

Politologue : « La politique extérieure de l’Arménie est pratiquement paralysée »

Il est absolument impossible de définir cette année comme positive pour l’Arménie, parce que ce pays se développe consécutivement dans le sens inverse du progrès.
Le politologue Ilgar Velizade l’a dit à Day.az, en commentant le bilan de l’année écoulée pour l’Arménie.
Il a noté, que suivant les experts arméniens, les dernières années en Arménie la situation démographique s’est empirée. La dégradation graduelle de la situation économique est observée, la dette extérieure augmente, la situation écologique s’aggrave.
« Le gouvernement arménien s’est concentré au traitement de ses gisements miniers, qui peuvent aboutir aux problèmes écologiques sérieux. Le manque de progrès dans la question de Karabakh et la politique étrangère nocive de l’Arménie  provoque un coup très grave à tous les domaines de l’activité, ce qui augmente l’insatisfaction dans la société. Ce mécontentement prend un caractère de masse. Cela fait croire, que l’année prochaine sera complexe pour l’Arménie. D’autant plus que les élections législatives et présidentielles sont attendues, la tension social croît constamment », a noté l’expert.

Les citoyens azerbaïdjanais regardent dans l’avenir avec l’espoir

L’Azerbaïdjan a occupé la 8e place parmi 51 pays du monde selon les résultats du sondage sur le sujet « Baromètre global des espoirs et des angoisses », mené par société de renom « Gallup International ».
1news.az l’annonce, en citant le service de presse de l’organisation de marketing azerbaïdjanais.
Selon les résultats du sondage, les citoyens de l’Azerbaïdjan regardent dans l’avenir avec l’espoir. Ils croient que l’année prochaine, le niveau de vie s’améliorera par rapport à l’année courante et sont sûrs du développement du pays en 2012. Outre cela, l’Azerbaïdjan est l’un des leaders du sondage concernant les pays, qui ont atteint le plus grand avancement de position.

samedi 24 décembre 2011

Dunya Myatovitch : la décision du Parlement français contredit à la liberté de la parole

Представитель ОБСЕ по вопросам свободы СМИ Дуня Миятович 22 декабря выразила свою обеспокоенность в связи с принятием французским парламентом законопроекта о криминализации отрицания «геноцида армян».

Как передает AZE.az, представитель ОБСЕ по вопросам свободы СМИ Дуня Миятович заявила о том, что последнее решение парламента Франции о криминализации отрицания «геноцида» вызывает серьезную озабоченность и угрожает международным стандартам свободы выражения мнений.

 Она также подчеркнула, что признает гуманитарные намерения Национального Собрания, который голосовали за данное предложение, однако она считает, что это может создать прецедент на международном уровне для криминализации публичных дебатов.


jeudi 22 décembre 2011

Elmar Mamedyarov a reçu Rachida Dati, membre de la Commission du Parlement Européen

Le Ministre des Affaires Etrangères d’Azerbaïdjan Elmar Mamedyarov a reçu Rachida Dati, membre de la Commission de l’industrie, de la recherche et de l’énergie du Parlement européen pour la France.
Se référant au service de presse du MAE d’Azerbaïdjan, 1new .az annonce, que pour R.Dati c’est sa deuxième visite en Azerbaïdjan et qu’elle est témoin du développement rapide de notre pays.
Elmar Mamedyarov a informé Rachida Dati du conflit de Karabakh et des mesures entreprises pour son règlement.
Les parties ont également discuté des questions, suscitant l’intérêt réciproque.

Le Sénat du Mexique a qualifié les événements de Khodjali de génocide

Le Sénat du Mexique qualifie de génocide les événements tragiques, qui s’étaient produits le 26 février 1992 à Khodjali, ville de la région du Haut Karabakh d’Azerbaïdjan.
Se référant au service de presse du MAE d’Azerbaïdjan, 1news.az informe, que l’organe législatif du Mexique a adopté une résolution, consistant d’articles de l’accord, liée au conflit du Haut-Karabakh arméno-azerbaïdjanais.
Le document témoigne, que le 26 février 1992, les forces armées arméniennes ont attaqué la population civile  de Khodjali. Au cours des événements, reconnu inconditionnellement comme un génocide par les organisations internationales, des centaines de personnes ont été tuées selon l’appartenance ethnique.
Dans la résolution du Sénat, on a abordé le processus du règlement du conflit arméno-azerbaïdjanais, on a découvert le contenu des principes de Madrid, on a noté le fait de l’occupation des territoires azerbaïdjanais par l’Arménie et l’importance du retour des réfugiés et des personnes déplacées sur leurs terres.
«  La chambre des députés, tout en respectant la souveraineté des peuples azerbaïdjanais et arménien, appelle les gouvernements des deux pays à faire des efforts pour atteindre dans les meilleurs délais un accord pour le règlement définitif du conflit du Haut-Karabakh, ainsi que les coprésidents du groupe de Minsk de l’OSCE à continuer le soutien nécessaire aux deux côtés pour atteindre ces buts », – est noté dans le texte de la résolution.
« Les victimes de la tragédie de Khodjali n’ont toujours pas obtenu justice malgré les 19 ans passés. Cela démontre la nécessité de la recherche rapide d’un élément clé de quelque accord de paix, et si possible, du rétablissement des relations harmonieuses entre les gens », est remarqué dans le texte.

Le MAE d’Azerbaïdjan a commenté la loi sur le « génocide arménien », adopté par le Sénat de la France

Certains députés européens deviennent un instrument dans les mains de quelques milieux.
Le porte-parole du MAE d’Azerbaïdjan Elman Abdullayev en a fait part, en commentant l’adoption de la loi du soi-disant « génocide arménien ».
« Si la France prétend avoir une approche de principe à certaines questions, alors, comme pays coprésident du groupe de Minsk de l’OSCE  elle devra examiner la question du génocide de Khodjali», a dit Abdullayev.
Jeudi, le parlement français a adopté la loi sur la pénalisation de la négation du soi-disant « génocide arménien », annonce la chaine de télévision CNN Turc.
En début décembre, les députés du Parti du Président français l’UMP, constituant la majorité parlementaire, ont présenté à la commission législative de l’Assemblée Nationale le projet de la loi dont le but est de criminaliser la négation du « génocide arménien ».
Les arméniens et le lobby arménien affirment, qu’en 1915, le prédécesseur de la République turque, l’Empire Ottomane, a commis « le génocide » contre les arméniens, habitant en Anatolie et avaient obtenu la reconnaissance de ces événements de génocide par les parlements de certains pays.
Les 25-26 février 1992, les forces armées arméniens avec le soutien du régiment russe n°366, disloqué à Khankendi, ont commis un acte de génocide, accompagné de cruauté particulier à l’égard de la population de la ville azerbaïdjanaise de Khodjali, comptant sept mille d’habitants.
En résultat de l’extermination sanglante de la population civile, 613 personnes ont été tuées, 1000 personnes sont devenues invalides à la suite des blessures par balles. Parmi les tués il y avait 106 femmes, 63 enfants, 70 vieillards. Huit familles ont été exterminées complètement, 25 enfants ont perdu les deux parents, 130 enfants ont perdu un parent. Pendant la nuit tragique, 1275 personnes civiles ont été prises en otages, et le destin de 150 est inconnu.

Ariel Cohen a vivement condamné le rappel possible de l’ambassadeur des États-Unis d’Azerbaïdjan

C’est sans précédent qu’un groupe ethnique indique à l’administration du président des États-Unis, qui doit être ambassadeur.
C’est le membre du Conseil d’expert Trend, l’expert en chef de la fondation « Héritage » pour les problèmes de la Russie, de l’Eurasie et de la politique énergétique internationale Ariel Cohen, qui l’a dit, en commentant la situation du rappel possible de l’ambassadeur des États-Unis d’Azerbaïdjan au cas , si le Sénat ne vote pas pour sa candidature.
« Matthew Braiza, que je connais déjà depuis 24 ans, est un grand diplomate et un vrai expert dans le domaine de l’énergie et du Caucase du Sud. Ce sera une grande perte, si l’administration et le Sénat ne trouve pas un moyen de proroger son service en Azerbaïdjan », a déclaré Cohen à Trend.
Le 29 décembre 2010, le président des États-Unis Barak Obama, par son décret personnel, a nommé le diplomate de carrière, l’ex-aide du secrétaire d’état américain Matthew Braiza ambassadeur en Azerbaïdjan, en contournant le Sénat, qui a pendant quelques mois bloqué sa confirmation sous la pression des sénateurs pro-arméniens. Si le Sénat des États-Unis ne ratifie pas la candidature de M.Braiza, il sera rappelé.
Le lobby arménien fait tout pour induire le Sénat à décliner sa candidature.
D’après Cohen, c’est inexcusable et cela ne servira pas aux intérêts de politique étrangère américaine.
« J’espère que son prédécesseur sera aussi bien que Braiza. Cependant, où que Matthew Braiza ne travaille, il sera très utile pour son employeur et pour les États-Unis », a dit Cohen.

Le projet de loi concernant la reconnaissance du génocide algérien et rwandais commis par la France est proposé au Parlement de Turquie

Les députés des Partis d’opposition turcs, Parti Populaire Républicain et Parti du Mouvement Nationaliste, ont lancé à la Grande Assemblée nationale turque le Projet de loi reconnaissant les actions de la France à l’égard des algériens et des rwandais en tant que génocide.
Selon 1news.az, il est indiqué dans le projet de loi, que dans les années 1950-1958, la France a commis le génocide à l’égard de 1,5 millions de personnes en Algérie, et en 1994, à l’égard de 800 mille personnes au Rwanda. Ces actions doivent être considérées comme crimes contre l’humanité.
« La Turquie doit reconnaître ces événements comme génocide et prévoir la pénalisation de sa négation sous forme d’amende qui ferait 90 mille euros ou la condamnation à 2 ans de prison.
Notons que la veille, le Président de la Turquie Abdulla Gul a appelé Paris à clore l’examen du projet de loi prévoyant la pénalisation pour la négation du soi-disant « génocide arménien ».
Á son tour, le président du Parlement turc Jamil Chichek a déclaré, que les événements de 1915 dans l’Empire Ottomane ne doivent pas être étudiés par les parlementaires, mais par les historiens.
« Nos relations avec la France ont des racines historiques encore depuis l’époque du sultan Suleyman, mais Paris  souhaite détruire des liens, qui remontent à plusieurs siècles, —donc, c’est son choix.
Je ne menace pas maintenant. Mais si la France adopte cette loi, à l’avenir, elle le payera en entier. Elle a le temps pour revoir sa position », a-t-il souligné.

Le Président Ilham Aliyev et son épouse Mehriban Aliyeva se sont entretenus avec la députée du Parlement européen

Le 21 décembre, le Président de la République d’Azerbaïdjan Ilham Aliyev et son épouse Mehriban Aliyeva ont rencontré Rachida Dati, députée du Parlement Européen, maire du 7e arrondissement de Paris.
Le Chef de l’État a remarqué, que les relations entre l’Azerbaïdjan et la France existaient dans différentes sphères. Ayant évoqué avec satisfaction la visite du Président français Nicolas Sarkozy en Azerbaïdjan, le Président Ilham Aliyev a souligné, que les ministres et les hommes d’affaires visitaient régulièrement notre pays. Le Chef de l’état a aussi noté le bon niveau des relations dans la sphère économique et a informé, que le premier satellite de télécommunications azerbaïdjanais serait sorti dans l’espace par la compagnie française. Il a remarqué, que les compagnies françaises travaillaient avec succès dans notre pays.
Les derniers temps, a remarqué le Président Ilham Aliyev, se développe très rapidement la coopération dans la sphère de la culture. De ce point de vue, il a souligné l’importance des actions, organisées à Paris par la Fondation Heydar Aliyev. Il a aussi informé de la construction de l’école française à Bakou.
La députée du Parlement Européen, maire du 7e arrondissement de Paris Rachida Dati a évoqué avec satisfaction sa rencontre à Paris avec la présidente de la Fondation Heydar Aliyev, ambassadrice de bonne volonté Mehriban Aliyeva. Rachida Dati a souligné, que les Journées de la culture azerbaïdjanaise avaient un grand succès et une grande signification du point de vue de la propagande  de la culture azerbaïdjanaise.

dimanche 18 décembre 2011

Fassier a dit la vérité. Erevan s’est mis aux « armes »

Quand un caractère scandaleux et le penchant pour la destruction s’unissent, attends le malheur comme dans le cas de la diplomatie arménienne !
La nouvelle sur l’initiative du bureau français Hay Dat, qui a demandé des explications de Bernard Fassier, coprésident du groupe de Minsk, a parcouru le monde entier. Le diplomate expérimenté et réputé est mis contre le mur, parce qu’il a appelé les choses de leurs propres noms, en examinant une situation évidente.
« Bien sûr, je comprends les souffrances de l’Azerbaïdjan. Les territoires de ce pays ont été conquis. Comme un Français, je sais bien ce que c’est l’occupation », a prononcé le diplomate dans l’un des immeubles du Sénat, où se tenait la Table ronde sur le règlement du conflit du Haut-Karabakh sans participation des représentants de l’Arménie, ce qui est, d’ailleurs, est très remarquable. Parce que leur présence, quel que soit le niveau et le format des rencontres, n’est presque pas dépourvu de vacarmes et de provocations.
La vérité dite a remué la conscience des Arméniens, car elle a ouvert les yeux des européens et du reste du monde à la réalité. Et cela, malgré que les arméniens aient fait tout pour dissimuler le facteur d’agression, des nettoyages ethniques et d’autres crimes, commis sur les terres azerbaïdjanaises.
Bernard Fassier n’a rien dit de neuf au public azerbaïdjanais. Dans le salon prestigieux, il a juste prononcé ce que Bakou disait à la communauté depuis vingt ans. Et, dieu merci, c’est le diplomate plénipotentiaire ayant la position neutre dans la mission de médiateur, qui a exprimé la vérité avec du retard.
Mais le problème a l’autre côté. Les arméniens tâchent de mettre en cause la bonne réputation du diplomate professionnel et celle de son pays.
Il n’y a pas de doute, que Hay Dat a reçu d’Erevan l’instruction de faire la pression sur le coprésident français. Pour ne pas gâter les relations avec Paris le centre a décidé de profiter des services de la structure de secours, expérimentée dans la pratique des solutions des problèmes avec le recours au chantage, à la pression et à d’autres méthodes grossières.

jeudi 15 décembre 2011

Le service de «notification SMS» sera proposé aux hôtes de l’ « Eurovision-2012 »

En vue de la prochaine tenue à Bakou du concours « Eurovision-2012 », le Ministère de Communication et des Technologies Informatiques d’Azerbaïdjan met en œuvre les mesures nécessaires pour toutes les questions concernant les technologies de l’information et de la communication.
Selon l’information de 1news.az, citant ICT News, on appliquera le service de « notification SMS» pour simplifier le processus d’information des hôtes étrangers, se servant d’itinérance, appelé « roaming ».
Au moyen de SMS les invités du concours pourront recevoir l’information sur le portail officiel du concours, sur le Centre de renseignement téléphonique.
Outre cela, on diffusera les numéros de contacts des ambassades et d’autres informations indispensables.
« Les trois opérateurs du service mobile cellulaire azerbaïdjanais ont déjà reçu les instructions correspondantes du Ministère », est noté dans l’information.
L’Azerbaïdjan a obtenu le droit d’organisation du concours « Eurovision » en 2012 après la victoire brillante du duo Eldar Qassimov et Nigar Jamal (nom scénique Ell&Nikki), qui s’était produit à Düsseldorf à l’ « Eurovision-2011 » avec la ballade «Running Scared».

mercredi 14 décembre 2011

Le parlementaire français : Nous devons renseigner nos collègues sur la position de la partie azerbaïdjanaise

Le président du groupe d’amitié avec l’Azerbaïdjan au Parlement français a déclaré qu’il existe en France une forte diaspora arménienne. Mais il n’est pas correct d’écouter seulement leur position au Parlement.
Selon l’information d’AZE.az, le président du groupe d’amitié France-Azerbaïdjan à l’Assemblée Nationale française M. Jean-Louis Dumont a déclaré à APA, que le but principal du groupe interparlementaire d’amitié est de développer des liens entre nos pays, d’évaluer ces relations et d’échanger de l’information sur nos pays.
 « Il est naturel, qu’en étant en visite en Azerbaïdjan, nous nous échangions d’opinions sur plusieurs questions. Mais, au cours de nos entretiens nous voyons clairement, que le conflit du Haut-Karabakh inquiète le plus  la société azerbaïdjanaise », a souligné Jean-Louis Dumont.
Selon lui, le parlement français tâche de faire son apport au règlement de ce conflit par la voie de paix : « Nous menons des discussions à ce propos avec nos collègues au parlement français. Il me semble, que la question principale est de renseigner correctement nos collègues, les députés français, sur le rôle important de l’Azerbaïdjan. Il existe en France une forte diaspora arménienne. Il serait faux d’écouter seulement sa position dans notre parlement. Nous devons également renseigner nos collègues sur la position de la partie azerbaïdjanaise. Ce serait parfait d’atteindre un équilibre informatique dans cette question.
Voilà pourquoi, le 8 décembre, au Sénat de la France ont eu lieu les auditions sur le Haut-Karabakh, de bonnes conditions ont été créées pour informer le public français sur la position de l’Azerbaïdjan au niveau des ambassadeurs, des politiques des députés, des diplomates. De cette façon, notre participation à ce genre d’actions est un indicateur de bonnes liaisons d’amitié avec l’Azerbaïdjan. Et nous, de notre côté, essayons de tous les moyens de contribuer au règlement de ce conflit par l’intermédiaire de la paix et des négociations, et nous suivrons dans cette direction à l’avenir aussi. On ne sait pas encore la date de la rencontre suivante de notre groupe d’amitié. Mais à Paris, je reçois souvent des politiques, des personnes officielles de l’Azerbaïdjan, j’ai avec eux les échanges d’opinions.

Les arméniens sont indignés par la déclaration du médiateur français du Groupe de Minsk de l’OSCE concernant l’occupation

Le bureau de Hay dat exige des explications concernant  la déclaration du médiateur français sur le karabakh.
Se référant aux médias arméniens, AZE.az informe, que le bureau français de Hay dat demande des commentaires relatifs aux propos du coprésident français du groupe de Minsk de l’OSCE Bernard Fassier.
Au cours de la table ronde sur le sujet « Le conflit entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie est un conflit oublié », organisée par l’Ambassade d’Azerbaïdjan en France et la sénatrice Nathalie Goulet, qui a eu lieu le 8 décembre dans l’un des immeubles du Sénat de la France, le coprésident français Bernard Fassier (qui sera remplacé par Jacques Fort à partir de janvier 2012) a déclaré : « Bien sûr, je comprends les souffrances de l’Azerbaïdjan. Les territoires de ce pays ont été conquis. Comme un Français, je comprends bien ce que c’est une occupation ».
« Ces déclarations démontrent la position partiale de Fassier, malgré son rôle de médiateur pour le Karabakh », est écrit dans la déclaration de Hay dat.
« Cette déclaration blâmable, en plus des nombreuses manifestations du ministère français des Affaires étrangères au cours des deux derniers mois, exige une explication claire de la part du Ministère français », estime la partie arménienne.
D’après le bureau français Hay dat, sur l’arène internationale, le MAE français a toujours l’attitude indûment amicale envers la Turquie, notamment relative à la commission des historiens, chargée d’étude « du génocide des arméniens ». Un autre exemple concerne l’appel à la Turquie pour l’aide à l’Europe dans la question syrienne, estime la partie arménienne.
Les arméniens demandent rendez-vous avec le chef du MAE Alain Juppé dans le but d’éclaircir toutes les questions litigieuses, qui inquiètent la communauté arménienne de la France.

mardi 13 décembre 2011

N.Mamedov: se crée une impression, que les États-Unis ont certaines obligations à l’égard de la diaspora arménienne

Le chef du département des relations extérieures de l’Administration du Président de la République d’Azerbaïdjan Novruz Mamedov a commenté la déclaration de la Secrétaire d’État des États-Unis Hillary Clinton, dans laquelle elle a partialement critiqué l’Azerbaïdjan.
« C’est une déclaration assez intéressante. Je dirais assez intéressante pour quelques raisons. Premièrement, je note que les discussions sur le sujet des droits de l’homme sont, sans doute, de grande importance dans le monde moderne. Et  le désir de protéger ces droits est tout à fait normal. Mais, est-ce que les droits de l’homme sont partagés sur les catégories en fonction de leur significations » ?
D’après AZE.az, cela a été dit par Novruz Mamédov, qui commentait les déclarations de Hillary Clinton à AzerTadj. Il a remarqué une ignorance complète de la part du département d’Etat des États-Unis de la question de dérogation des droits de presque 1 million de réfugiés et de personnes déplacées azerbaïdjanais, devenus victimes de l’agression arménienne.
Rappelons, que dans sa déclaration du 9 décembre 2011 à l’occasion de la Journée des droits de l’homme, la secrétaire d’état des USA Hillary Clinton, en indiquant les dérogations dans ce domaine, a mentionné l’Azerbaïdjan avec  le Zimbabwe comme des exemples négatifs.
« Si c’est une question vraiment importante pour les États-Unis, alors comment expliquer le silence de ce même département en ce qui concerne la dérogation des droits d’un million de réfugiés et de personnes déplacées azerbaïdjanais, chassés de leurs terres natales à la suite de l’agression armée illégale arménienne ? Pourquoi personne n’intervient avec une déclaration sérieuse à ce sujet » ? Une question raisonnable, que le représentant de l’Administration de la Présidence azerbaïdjanaise s’est posé.
« Il est probable, que les personnes, qui avaient préparé ce discours du secrétaire d’état, s’appuyaient à la logique de l’alphabet anglais en parlant de l’Azerbaïdjan et de Zimbabwe (par analogie avec la première et dernière lettres de l’alphabet anglais —red.). Pourtant, ou ils ne l’ont pas bien appris (au moins, suivant l’alphabet, l’Arménie devrait venir avant l’Azerbaïdjan —red.), ou bien nous avons affaire aux doubles standards dans la politique extérieure des USA »,- a souligné N. Mamédov.

La députée israélienne sur la possibilité de reconnaissance du «génocide arménien» par Knesset

L’interview de Day.az avec Faina Kirshenbaum, la députée du Knesset, secrétaire générale du parti « Notre maison Israël ».
-Comment avez-vous apprécié le niveau actuel des relations azerbaïdjano-israéliennes?
- Je pense, qu’à ce jour,  le niveau des relations entre nos pays peut être apprécié comme très haut.  Notre Ministre de l’infrastructure nationale Uzi Landau, puis le Ministre des communications Moshe Kahlon ont visité Bakou en novembre. La visite du Ministre du développement économique Chahin Mustafayev en Israël est prévue fin décembre. L’Ambassade d’Israël à Bakou est l’une des plus « fructueuse » et active. Les israéliens, originaires d’Azerbaïdjan conservent des liens très étroits avec la communauté juive de la république. La délégation des grands écrivains azerbaïdjanais a visité récemment l’Israël.
Le Ministre des Affaires Etrangères d’Israël Avigdor Lieberman attache une grande importance au développement des liaisons avec l’Azerbaïdjan. Les relations économiques entre nos pays se développent constamment, surtout dans le domaine de l’énergie.
- A quel stade de développement sont maintenant les relations turco-israéliennes? Se sont-elles améliorées par rapport à la période précédente ou sont pires ?
-Le niveau de nos relations dépend uniquement de la partie turque. On n’y observe aucun changement, et j’ai peur, qu’il sera difficile de retrouver la confiance d’autrefois. En tout cas, l’Israël est toujours prêt à améliorer les relations. L’aide que nous avons fourni à la Turquie après le dernier séisme, à mon avis, témoigne du fait que les valeurs humaines sont plus importantes pour nous, que la conjoncture politique.
Á cet égard, je voulais souligner le fait, que Bakou officiel défend fermement l’indépendance du cours politique de l’Azerbaïdjan. Et le degré de nos relations avec la Turquie n’a aucun impact sur les relations Azerbaïdjan – Israël.
-Ces derniers temps, en Israël on parle plus souvent de la reconnaissance d’un soi-disant « génocide des arméniens »…

vendredi 9 décembre 2011

L’Azerbaïdjan a l’intention de demander l’inclusion des monuments de l’Albanie du Caucase sur la liste de l’UNESCO

Le Ministère de la culture et du tourisme a prévu une série d’actions pour populariser l’histoire de l’Albanie du Caucase.
Le Ministère de la culture et du tourisme prévoit créer la base de données de l’héritage de l’Albanie du Caucase et d’organiser dans ce but  une série d’actions. Selon l’information du Ministère, un site sera créé, consacré à l’héritage non-matériel de l’Albanie du Caucase et sera effectuée l’identification de tous les monuments de cet ancien état.
Le matériel sera préparé, qu’on planifie répandre en Azerbaïdjan et à l’étranger.
Le ministère prévoit organiser les expositions de photos des monuments de l’Albanie du Caucase et tourner un film à ce sujet. Toutes ces actions sont prévues pour l’année prochaine.

Le conflit du Haut-Karabakh est discuté au Sénat de la France

Le 8 décembre 2011, au Sénat français s’est tenue la conférence sur le sujet « La France coprésident du groupe de Minsk et le conflit arméno-azerbaïdjanais oublié ».
L’action est organisée par l’Alliance Publique « Communauté azerbaïdjanaise de la région du Haut-Karabakh de la République d’Azerbaïdjan » et l’Ambassade d’ Azerbaïdjan en France.
La participation de plus de cent représentants des milieux académiques, étatiques et commerciaux de la France, du corps diplomatique et des médias indique le grand intérêt pour le problème du conflit dans ce pays.
Nathalie Goulet, membre de la commission pour les questions internationales du Sénat a ouvert la conférence en tant que son modérateur. La sénatrice a exprimé sa reconnaissance à la partie azerbaïdjanaise pour l’initiative opportune et importante de cette action, ayant souligné la nécessité de porter au public français l’information authentique sur le conflit arméno-azerbaïdjanais. La sénatrice a jugé inacceptable de laisser les territoires azerbaïdjanais sous l’occupation arménienne : elle a parlé de ses visites dans la zone du conflit et de nombreuses rencontres avec les personnes azerbaïdjanaises déplacées, dispersées à travers le pays, qui ont souffert de la guerre plus que d’autres.
La position officielle de l’Azerbaïdjan dans la question du règlement du conflit arméno-azerbaïdjanais du Haut-Karabakh a été exposée en détail aux participants de la conférence par l’Ambassadeur d’Azerbaïdjan Eltchin Amirbeyov. Avec cela, il a souligné la grande importance de la présence dans la conférence des représentants de la communauté azerbaïdjanaise du Haut-Karabakh, qui est conformément au mandat de la conférence de Minsk de l’OSCE l’une des parties intéressée du conflit. Il a noté que tout en restant partisan du règlement paisible du conflit, l’Azerbaïdjan estime inacceptable la conservation du statut-quo dans la zone du conflit et envisage le règlement par étape, qui prévoit la liquidation immédiate des conséquences de la phase militaire du conflit comme le seul moyen efficace de parvenir à une paix durable, juste et globale entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan. Le but final des pourparlers, a continué le diplomate, n’est pas tout simplement la sortie des troupes d’occupation arméniennes des sept régions autour du Haut-Karabakh, mais la restauration de l’intégrité territoriale et de la souveraineté de la République d’Azerbaïdjan sur tous les territoires occupés, ainsi que le retour sur ces territoires de toutes les personnes azerbaïdjanaises déplacées.
Ayant informé l’auditoire de la fin de sa mission de sept ans en tant que coprésident du groupe de Minsk de la France, l’ambassadeur Bernard Fassier a parlé des efforts de son pays et d’autres coprésidents du Groupe de Minsk de l’OSCE pour l’obtention du progrès par les parties du conflit lors des négociations difficiles. Il a parlé de l’évolution du processus des négociations et des difficultés, avec lesquels les médiateurs et les parties du conflit étaient confrontés dans la tâche d’obtenir des progrès dans ces négociations.
Le député du Milli Medjlis Rovchan Rzayev, le recteur de l’Académie de musique Farkhad Badalbeyli et le politologue, originaire de Khodjali Anar Usubov, qui avaient pris la parole lors de la conférence, ont souligné l’importance de l’organisation régulière des conférences pareilles dans différents pays dans le but de communiquer à la communauté mondiale l’information véridique relative à l’histoire et les conséquences tragiques de l’agression arménienne contre l’ Azerbaïdjan.
Les intervenants ont en même temps parlé de leur volonté et de l’importance d’établir un dialogue constructif régulier entre les communautés azerbaïdjanaise et arménienne du Haut-Karabakh pour atteindre une paix durable dans la région, ayant souligné que leur objectif principal et leur désir est de retourner vers leurs foyers natals et de coexister avec la population locale arménienne au Haut-Karabakh.
On a aussi entendu les rapports de M. Jean-Louis  Dumont, député de l’Assemblée Nationale, président du groupe d’amitié France –Azerbaïdjan, de M. Pierre Conesa, chercheur du centre analytique à l’institut des relations internationales et stratégiques et de M. Antoine Constant, historien.
Lors des débats, qui ont eu lieu après les interventions, les intervenants ont répondu aux questions, concernant les différents aspects du problème en question.

jeudi 8 décembre 2011

Les actifs du Fonds Pétrolier ont augmenté de 64 fois

Depuis la création du Fonds National Pétrolier d’Azerbaïdjan, les revenus du Fonds ont fait 63,8 milliards de dollars.
Cette déclaration, selon 1news.az, a été faite par le directeur exécutif du Fonds Chahmar Movsumov à la Conférence Internationale tenant lieu à Bakou sur le sujet « 20e anniversaire de l’indépendance : progrès, résultats, atteints sur la voie vers la construction de l’état juste et dynamique ».
Selon lui, les dépenses du Fonds ont atteint pour cette période 29,7 milliards de dollars.
« Au moment de la création en 2001, le Fonds National Pétrolier d’Azerbaïdjan possédait les moyens correspondant à 0,5 milliards de dollars. Pendant cette période, les actifs du Fonds se sont accrus de 64 fois et ont atteints 32,3 milliards de dollars », a remarqué Ch. Movsumov.
Plus tôt, Ch. Movsumov avait déclaré aux journalistes, qu’avant la fin de l’année courante, après les transferts au budget, la quantité des actifs du Fonds serait égale à 30 milliards, et en 2012, en cas de la hausse du prix du pétrole cet indice augmenterait.
En date du 1er octobre 2011, les actifs du Fonds National Pétrolier d’Azerbaïdjan ont fait 32 milliards 242,5 mlns, ce qui a dépassé de 41,6% l’indice à la date du 1er janvier (22 milliards 766,8 mlns.).
Au début de l’année 2010 les actifs du Fonds faisaient 14 milliards 900,4 mlns.

mercredi 7 décembre 2011

Les chefs des MAE d’Azerbaïdjan et de Lituanie ont discuté du règlement du conflit de Haut-Karabakh

L’envoyé spécial de Trend informe, qu’au Conseil des Ministres des Affaires Etrangères de l’OSCE à Vilnius il y a eu la rencontre du chef du MAE d’Azerbaïdjan Elmar Mamedyarov avec Andronius Azubalis, chef de la diplomatie lituanienne, Président en exercice de l’OSCE,  à laquelle a été discuté le problème du Haut-Karabakh.
Les parties ont souligné l’importance du règlement du conflit de Haut-Karabakh et l’inadmissibilité de la conservation du statut quo.
Le Chef de la diplomatie azerbaïdjanaise a remercié Azubalis pour son activité au poste du Président en exercice de l’OSCE et ses efforts dans la solution au conflit de Haut-Karabakh. Le conflit entre deux pays sud-caucasiens a commencé en 1988 en raison de revendications territoriales de l’Arménie contre l’Azerbaïdjan. Le Haut-Karabakh et sept régions voisines —20% du territoire azerbaïdjanais— se trouvent sous l’occupation des forces armées arméniennes. En mai 1994, les parties ont atteints le régime du cessez-le feu, et les négociations pacifiques sans résultats sont en cours jusqu’à présent. Elles sont menées sous l’égide  du groupe de Minsk de l’OSCE et au moyen de la coprésidence de la Russie, de la France et des Etats-Unis.
Les quatre résolutions du Conseil de la sécurité de l’ONU, prévoyant la libération de la région occupée du Haut-Karabakh et des ses régions adjacentes, ne sont pas suivies par l’Arménie.

mardi 6 décembre 2011

La visite de la Première dame d’Azerbaïdjan en Italie a été largement rapportée dans la presse italienne

Le journal influent italien « Cronaca di Roma » du 2 décembre a publié l’article sur la visite en Italie de la Première dame d’Azerbaïdjan Mehriban Aliyeva et sa rencontre avec l’épouse du Premier-Ministre du pays Elsa Monti.
Il est noté dans l’article, que la Première dame  d’Azerbaïdjan Mehriban Aliyeva, qui effectue sa visite en Italie dans le but de propagande du 20ème anniversaire de l’indépendance de son pays avait rencontré Elsa Monti et avait eu des entretiens importants concernant l’éducation.
Le journal a informé également de la manifestation du soir du 2 décembre dans le Théâtre de l’Opéra de Rome et a souligné, que grâce à son programme intéressant on s’en souviendrait longtemps.
Sur le site du pays le plus fréquenté roma.repubblica.it est placé le reportage sur la visite de la Première Dame d’Azerbaïdjan en Italie et au Vatican. L’information détaillée est présentée concernant les rencontres et les entretiens de Mehriban Aliyeva avec le Président de l’Italie Giorgio Napolitano, le Cardinal Gianfranco  Ravazi et l’épouse du Premier-Ministre italien Elsa Monti.
Le journal « Tutta Roma » a largement informé sur la manifestation, consacrée au 20ème anniversaire de la restauration de l’indépendance de l’Azerbaïdjan, qui s’est tenue au Théâtre d’Opéra de Rome. D’après  l’article du journal, le public de Rome a été très impressionné par un petit groupe de représentants de la culture azerbaïdjanaise. Le journal propose aux lecteurs le résumé du discours de Mme Mehriban Aliyeva. Il est noté, que cette action a attiré l’attention des personnages célèbres italiens. La manifestation culturelle, à laquelle les personnalités connus du pays ont pris part, a suscité un vif intérêt.

Le conflit du Haut-Karabakh sera discuté au Sénat de la France

L’Ambassade d’Azerbaïdjan en France réunira les personnalités politiques, les politologues de l’Azerbaïdjan et de l’Arménie pour discuter du conflit du Haut-Karabakh.
Selon l’information d’AZE.az, le 8 décembre, au Sénat de la France, se tiendra  la « table ronde » sur le sujet du conflit  du Haut-Karabakh.
L’action sera organisée par l’Ambassade d’Azerbaïdjan en France. Des discussions auront lieu sur deux sujets: « Le conflit entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan, un conflit oublié » et « Le co-président français du groupe de Minsk de l’OSCE ».
Les hommes politiques et les politologues azerbaïdjanais et arméniens participeront à cette réunion.
Les parties s’échangeront d’opinions sur la solution du conflit du Haut-Karabakh.
D’après l’information reçue de l’ambassade, une exposition de photos sur le sujet du conflit  du Haut-Karabakh sera présentée dans le cadre de la « table ronde ».

L’Azerbaïdjan est partisan du règlement pacifique du problème — Opinion de l’expert

Les relations entre l’Iran et les états leaders de l’Occident sont très tendues. Elles passent dans la phase de confrontation. Il faut accepter ce fait comme une réalité de la région.
Le politologue Fikret Sadikhov l’a annoncé à 1news.az, en commentant la situation en Iran. « Les états occidentaux sont inquiets du développement du programme nucléaire de l’Iran, et  il est possible, que d’autres raisons existent pour cette confrontation », a-t-il dit.
Á l’opinion du politologue, à présent, il est indispensable pour l’Iran de coopérer avec les grands pays européens, avec les organisations internationales et, en particulier, avec IAEA (International Atomic Energy Agency). « Derrière tout cela, on voit le désir des grands états de porter un coup au régime politique de Téhéran officiel. Il est important, que ces états ne se trompent pas et qu’ils ne fassent pas à nouveau d’erreur », a remarqué Sadikhov.
Selon ses paroles, dans le cas d’Iraq «  il y avait beaucoup d’intimidations, on disait qu’ils possédaient une arme chimique et d’autres espèces d’armes…Nous sommes aussi bien au courant de ce qui se passe dans ce pays ». La pratique des dernières années a montré, que si les états occidentaux décident concrètement de supprimer un régime, ils se le fixent comme objectif et le mettent en œuvre : « Mais je ne pense pas, que ce soit fait facilement à l’égard de l’Iran ».
Selon les paroles de l’expert, les états leaders règlent des problèmes par la force.  « Nous l’avons déjà vu sur l’exemple de plusieurs pays du Proche Orient. Il existe de divers défis qui peuvent menacer la région. Compte tenu de tout cela, l’Iran doit faire des conclusions et prendre en compte toutes les sanctions imposées et la pression », a-t-il noté.
Sadikhov a remarqué, que l’Azerbaïdjan, pour sa part, est partisan de la solution pacifique du problème.
« Malgré de nombreux propos anti-azerbaïdjanais de la part des personnes officielles de l’Iran, les déclarations des médias peu flatteuses, des accusations et même des insultes, l’Azerbaïdjan, néanmoins, manifeste une grande patience et la tolérance, comprenant, que l’Iran est un état voisin.
Nous sommes conscients des questions économiques et commerciales, qui existent et prenons en compte un grand nombre de nos compatriotes dans ce pays. L’Iran est notre voisin et nous avons une grande longueur des frontières communes. Et l’Azerbaïdjan ne défend pas la solution militaire de ce problème. Nous sommes quand même pour le règlement de cette question par la voie de paix », a dit F.Sadikhov.

lundi 5 décembre 2011

La cérémonie solennelle, consacrée au 20ème anniversaire de l’indépendance de l’Azerbaïdjan a eu lieu à Rome

Le 2 décembre, la Première dame d’Azerbaïdjan, présidente de la Fondation Heydar Aliyev Mehriban Aliyeva et la vice-présidente de cette Fondation Leyla Aliyeva ont pris part à la cérémonie, consacrée au 20ème anniversaire de l’indépendance de l’Azerbaïdjan, organisée à l’initiative de la Fondation Heydar Aliyev et avec le soutien de l’Ambassade d’Azerbaïdjan en Italie.
1 news.az informe, en citant AzerTadj, qu’avant la cérémonie la Première dame d’Azerbaïdjan  Mehriban Aliyeva a eu un entretien avec la Secrétaire d’État du Ministère des Affaires Étrangères d’Italie Marthe Dassu.
La Première dame d’Azerbaïdjan a exprimé sa satisfaction de la manifestation, qui s’est tenue en Italie à l’occasion du 20ème anniversaire de l’indépendance de notre pays. Mehriban Aliyeva a souligné, que le développement dynamique des relations entre l’Azerbaïdjan et l’Italie n’est pas aléatoire. Ayant noté, que son objectif est de faire connaître l’héritage culturel de l’Azerbaïdjan au monde entier, la présidente de la Fondation Heydar Aliyev a déclaré, que cette rencontre donnerait un nouvel élan à ces relations.
Ayant rappelé de sa rencontre avec le Président d’Italie Giorgio Napolitano, Mehriban Aliyeva a fait part de la discussion de certaines questions importantes, ainsi que de l’idée du rapprochement de l’Azerbaïdjan et de l’Italie au moyen de l’élargissement des liens et des relations amicales.

samedi 3 décembre 2011

La presse italienne a publié l’article sur la visite de la Première dame d’Azerbaïdjan en Italie

Le journal influent italien « Cronaca di Roma » du 2 décembre a publié l’article sur la visite en Italie de la Première dame d’Azerbaïdjan Mehriban Aliyeva et sa rencontre avec l’épouse du Premier-Ministre du pays Elsa Monti.
Il est noté dans l’article, que la Première dame  d’Azerbaïdjan Mehriban Aliyeva, qui effectue sa visite en Italie dans le but de propagande du 20ème anniversaire de l’indépendance de son pays avait rencontré Elsa Monti et avait eu des entretiens importants concernant l’éducation.
Le journal a informé également de la manifestation du soir du 2 décembre dans le Théâtre de l’Opéra de Rome et a souligné, que grâce à son programme intéressant on s’en souviendra longtemps. Le journal annonce qu’Elsa Monti  prévoit assister à la manifestation.


La Première dame d’Azerbaïdjan a rencontré le Président de l’Italie

Mehriban Aliyeva, présidente de la Fondation Heydar Aliyev, se trouvant en visite en Italie, a rencontré le Président de la République italienne Giorgio Napolitano.
En citant AzerTagj, 1news.az informe, que Mehriban Aliyeva a transmis au Président Giorgio Napolitano les salutations du Président de l’Azerbaïdjan Ilham Aliyev.
Ayant noté, que l’Italie est un pays ami d’Azerbaïdjan, la première dame a remarqué, que la célébration du 20ème anniversaire de l’indépendance de l’Azerbaïdjan dans ce pays en était une preuve claire. Mehriban Aliyeva a exprimé la satisfaction par le développement des relations entre l’Azerbaïdjan et l’Italie et a souligné qu’il y avait un besoin d’expansion de la coopération entre nos deux pays dans le domaine de la culture. Pour cela, en 2012, on prévoit d’organiser en Italie  une série d’actions, y compris la semaine de la culture azerbaïdjanaise.
Le Président de l’Italie Giorgio Napolitano a pour sa part demandé à la Première dame de transmettre ses meilleurs vœux  au Président Ilham Aliyev. Le chef de l’État italien a noté, que la célébration du 20ème anniversaire de l’indépendance de l’Azerbaïdjan à Rome contribuera au développement des liens culturels entre deux pays.
Le Président a souligné l’existence d’excellentes relations politiques et économiques entre l’Azerbaïdjan et l’Italie.

Mehriban Aliyeva a rencontré l’épouse du Premier-Ministre d’Italie

Mehriban Aliyeva, Première dame d’Azerbaïdjan, président de la Fondation Heydar Aliyev, étant en visite en Italie, a rencontré Elsa Monti, épouse de Mario Monti, Premier-Ministre d’Italie.
Citant AzerTadj, 1news.az informe, que lors de la rencontre ont été envisagés les projets, réalisés en commun par deux pays dans les sphères culturelle et éducative. Un accord est conclu sur l’échange d’étudiants, d’enseignants et de professeurs entre les établissements supérieurs d’Azerbaïdjan et d’Italie. Outre cela, on a souligné l’importance de l’enseignement de l’azerbaïdjanais et de la culture en Italie et de l’italien dans notre pays.
Mehriban Aliyeva a invité Elsa Monti à visiter l’Azerbaïdjan.
Ensuite, l’épouse du premier-ministre d’Italie a informé le président de la Fondation Heydar Aliyev sur l’histoire et le territoire de la Villa Panfini, qui est une Maison pour les accueils officiels du gouvernement italien. Elsa Monti a fait savoir, que la Villa Panfini, construite dans la première moitié du XVIIème siècle est l’un des chefs-d’œuvres de l’architecture italienne. L’immeuble, où sont gardées les perles précieuses de l’art mondial, avait été ouvert au public en 1972.
Après avoir fait connaissance avec la Première dame d’Azerbaïdjan, Elsa Monti a donné une réception en son honneur.
Puis, les photos de Mehriban Aliyeva et d’Elsa Monti ont été prises en mémoire de la rencontre.

vendredi 2 décembre 2011

« L’Azerbaïdjan est devenu une espace internationale très importante pour l’établissement du dialogue interreligieux et interculturel »

Le 29 novembre, à Vatican, à l’initiative de la Fondation Heydar Aliyev et avec le soutien de l’Ambassade d’Azerbaïdjan à Vatican s’est tenue la cérémonie solennelle, consacrée au 20e anniversaire de l’indépendance de la République d’ Azerbaïdjan.
Selon AzerTadj, la Première dame d’Azerbaïdjan, Mehriban Aliyeva, a prononcé un discours à la cérémonie. Elle a dit :
« Votre Éminence Cardinal Ravasi, Vos Excellences, Mesdames, Messieurs ! Je vous salue cordialement à la soirée, consacrée à l’Azerbaïdjan. J’exprime ma reconnaissance au Cardinal Ravazi pour ses paroles chaleureuses sur notre pays, pour être avec nous ce soir et pour la coopération. Notre manifestation est consacrée à l’événement très remarquable dans l’histoire récente de l’Azerbaïdjan. Cette année nous célébrons le 20e anniversaire du rétablissement de l’indépendance de notre pays. Je suis très contente, que l’un des pays, choisi pour la célébration de cet événement, est Vatican. C’est aussi un bon indicateur de nos relations amicales avec le Saint-Siège.
Ayant restauré en 1991 son indépendance, le peuple azerbaïdjanais est enfin devenu le propriétaire de ses terres, de son pays. Pendant ces 20 ans, nous avons eu beaucoup de succès, malgré que les premières années de l’indépendance notre pays était confronté à des problèmes très graves. Le conflit arméno-azerbaïdjanais de Haut-Karabakh, qui dure plus de 20 ans n’est toujours pas réglé. La cinquième partie du territoire est occupée. Il y a un million de rescapés et de réfugiés. Notre héritage culturel sur les territoires occupés est devenu cible d’attaques des occupants. Sont détruites les places saintes et les cimetières, plusieurs monuments historiques et culturels sont effacés du sol. Néanmoins, l’Azerbaïdjan est partisan du règlement paisible du conflit, à la base des normes et des principes du droit international. J’espère, que prochainement, l’intégrité territoriale de notre pays sera rétablie, et chaque rescapé, chaque réfugié pourra revenir à son foyer.

Les Arméniens falsifient l’histoire ancienne et moderne — l’Administration présidentielle de l’Azerbaïdjan

« Les Arméniens falsifient l’histoire ancienne et moderne », a dit le chef du département sociopolitique de l’Administration du Président, Ali Hassanov, dans son intervention, à la Conférence scientifique internationale sur le «Rôle de l’Albanie caucasienne dans l’histoire de l’Azerbaïdjan et du Caucase ».
Hassanov affirme, que la  falsification  par les Arméniens de l’histoire ancienne et moderne se passe devant les yeux de tout le monde. Les historiens arméniens créent des mythes sur lesquels ils bâtissent leur histoire. De cette façon, ils s’occupent de la tromperie du monde de la science en plaçant dans   diverses encyclopédies politiques une fausse information. Il a souligné, que les Arméniens tentent de falsifier l’histoire du Caucase du Sud.
« En s’appropriant la structure ethnique, toute la culture, tout ce qu’il y a de bon chez les peuples du Caucase du Sud, les Arméniens essaient de rendre tout arménien. Ils représentent d’autres peuples comme des nomades, loin de la culture», a dit Hassanov.
Selon ses paroles, aucun peuple n’abandonnera le Caucase du Sud et ne partira pas, ayant laissé tout à un autre.
« Nous devons bâtir notre histoire en regardant dans l’avenir. Nous devons savoir, qui et comment vivait ici, comment y est arrivé. Il est impossible de construire le futur sur le passé », a ajouté Hassanov.