mercredi 14 décembre 2011

Le parlementaire français : Nous devons renseigner nos collègues sur la position de la partie azerbaïdjanaise

Le président du groupe d’amitié avec l’Azerbaïdjan au Parlement français a déclaré qu’il existe en France une forte diaspora arménienne. Mais il n’est pas correct d’écouter seulement leur position au Parlement.
Selon l’information d’AZE.az, le président du groupe d’amitié France-Azerbaïdjan à l’Assemblée Nationale française M. Jean-Louis Dumont a déclaré à APA, que le but principal du groupe interparlementaire d’amitié est de développer des liens entre nos pays, d’évaluer ces relations et d’échanger de l’information sur nos pays.
 « Il est naturel, qu’en étant en visite en Azerbaïdjan, nous nous échangions d’opinions sur plusieurs questions. Mais, au cours de nos entretiens nous voyons clairement, que le conflit du Haut-Karabakh inquiète le plus  la société azerbaïdjanaise », a souligné Jean-Louis Dumont.
Selon lui, le parlement français tâche de faire son apport au règlement de ce conflit par la voie de paix : « Nous menons des discussions à ce propos avec nos collègues au parlement français. Il me semble, que la question principale est de renseigner correctement nos collègues, les députés français, sur le rôle important de l’Azerbaïdjan. Il existe en France une forte diaspora arménienne. Il serait faux d’écouter seulement sa position dans notre parlement. Nous devons également renseigner nos collègues sur la position de la partie azerbaïdjanaise. Ce serait parfait d’atteindre un équilibre informatique dans cette question.
Voilà pourquoi, le 8 décembre, au Sénat de la France ont eu lieu les auditions sur le Haut-Karabakh, de bonnes conditions ont été créées pour informer le public français sur la position de l’Azerbaïdjan au niveau des ambassadeurs, des politiques des députés, des diplomates. De cette façon, notre participation à ce genre d’actions est un indicateur de bonnes liaisons d’amitié avec l’Azerbaïdjan. Et nous, de notre côté, essayons de tous les moyens de contribuer au règlement de ce conflit par l’intermédiaire de la paix et des négociations, et nous suivrons dans cette direction à l’avenir aussi. On ne sait pas encore la date de la rencontre suivante de notre groupe d’amitié. Mais à Paris, je reçois souvent des politiques, des personnes officielles de l’Azerbaïdjan, j’ai avec eux les échanges d’opinions.

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