Ce n’est pas la première fois, que nous devenons témoins des faits de félicitation des agresseurs arméniens, installés sur les territoires azerbaïdjanais par les médias français.
Le 9 novembre, le journal « Le Monde » a publié l’article intitulé «Choucha, capitale historique fantôme du Haut Karabakh ».
L’auteur de cet article Philippe Schaller parle de la vie actuelle de Choucha.
Mais, au cours de son récit, l’auteur fait une série de fautes. J’accepte, que ces fautes étaient commises dans le but de falcifier les faits et représenter les arméniens sous le meilleur jour.
Tout d’abord, Philippe Scheller ne rappelle pas, que le Karabakh avait été occupé par les Arméniens, et que la population azerbaïdjanaise de ces territoires a subi les nettoyages éthniques et l’extermination cruelle. En résultat, tous les azerbaïdjanais, habitant sur ce territoire étaient transformés en réfugiés.
Sans parler des raisons du conflit, l’auteur induit exprès le lecteur en erreur.
Ensuite, on parle dans l’article de la république autoproclamée, soulignant, que le territoire de cette république non-reconnue est de 11 mille km².Pourtant, selon la déclaration des autorités d’occupation, la république du Haut-Karabakh est créée dans les cadres de la Région Autonome du Haut-Karabakh (NKAO), et le territoire du NKAO fait 4 400 km². La question se pose : d’où vient le reste des terres ? La réponse est très simple : tout simplement, l’auteur a décidé de rajouter à cette « république» d’autres terres occupées de l’Azerbaïdjan autour de l’ancienne Région Autonome de Haut-Karabakh.
Puis, l’auteur affirme, qu’en 1992, Choucha est redevenue arménienne. Comment la ville, fondée par un gouverneur azerbaïdjanais et tout au long de son histoire peuplée par les azerbaïdjanais, pourrait être arménienne ? Je crois que ce mensonge restera sur la conscience de l’auteur.Et enfin, monsieur Schaller, en se référent aux paroles de l’arménien français, évoque 60 mille arméniens, qui ont prétendument abandonné Choucha pour déménager à Stépanakert (Khankendi). Evidamment, l’auteur ne sait pas que la population de Choucha faisait 17 mille d’habitant, conformément au dernier recensement soviétique, dont 90 % étaient azerbaïdjanais. Si on prend en considération, qu’en 1992 les azerbaïdjanais étaient chassés de Choucha et quelques mille arméniens étaient restés en ville, il est difficile de comprendre d’où on a pris 60 mille arméniens, déménagés de Choucha à Stépanakert (Khankendi), si on connaît, qu’il y a environ 50 mille d’habitants à Stépanakert à ce jour.
Cependant, pour être juste, il faut noter, que l’auteur évoque deux mosquées azerbaïdjanaises, détruites et souillées.
Mais, au fond de ce mensonge, que monsieur Schaller est arrivé à inserer dans un petit article, cette constatation d’un fait est égarée entre les lignes.
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