L’Organisation terroriste ASALA est responsable de la mort et de la mutilation de nombreuses personnes innocentes. ASALA n’a pas organisé des attentats que contre la Turquie, qui a prétendument « infligé le génocide contre les arméniens ». Les citoyens des Etats-Unis, de la France, d’Espagne, de la Suisse et d’autres pays sont devenus victimes de la terreur arménienne.
A la fin des années 70 et 80 du XXe siècle la Suisse et les établissements suisses étaient devenus cibles des terroristes arméniens.
Cet intérêt insalubre des arméniens pour la Suisse peut paraître étrange. Les terroristes arméniens prévoyaient en Suisse ses actions contre la Turquie, et en particulier contre les diplomates turques. Mais tout n’a pas marché sans défaut comme ils avaient prévu. Ils n’ont pas suscité la compassion du pouvoir comme cela a été le cas en France.
ASALA a accompli son premier acte de terreur le 6 juin 1977 à Zurich. Des terroristes arméniens y ont fait exploser le magasin appartenant au turc Hussein Bulbul.
En décembre 1978 les terroristes arméniens font exploser le bureau de la compagnie aérienne cargo à Genève, en août 1979 les terroristes d’ASALA organisent un attentat piégé de la voiture du consul turc Niyazi Adali à Genève. Heureusement, le diplomate n’a pas souffert, mais deux passants suisses ont été blessés au moment de l’explosion. C’étaient les premiers Suisses, victimes d’ASALA en Suisse. Le 6 février 1980 à Berne ASALA accomplit un attentat à l’ambassadeur turc Dogan Turcmen qui n’a pas atteint son but.
La police suisse arrête les arméniens coupables de l’attentat à l’ambassadeur. Après cet incident des établissements et des citoyens suisses deviennent cibles des terroristes.
Le 18 février de la même année ASALA organise une autre explosion devant le bureau de la compagnie aérienne « Suisse International Air Lianes » à Rome. ASALA fait une déclaration et annonce, que cette action est un avertissement au gouvernement suisse de ne pas enfermer des arméniens innocents dans les prisons. C’était, en effet, un chantage de la part des terroristes à l’égard des autorités suisses, et plus précisément, le début du chantage.Le 3 octobre 1980 une explosion a lieu dans la chambre d’un hôtel Suisse. La police découvre deux blessés sur place. C’étaient Alexandre Enigomchian et Suzi Mekhseredjian. Ils étaient devenus victimes d’un dispositif explosif de circonstance qu’ils confectionnaient dans leur chambre et qui a causé l’explosion. La police suisse avait arrêté immédiatement les deux terroristes ratés.
En réponse à l’arrêt de ses membres, ASALA a créé un groupe de terreur nommé «L’organisation du 3 octobre» qui avait accompli ultérieurement plusieurs attentats contre les entreprises suisses dans le monde entier, y compris en Suisse.
La réponse d’ASALA ne s’est pas fait attendre. Le 12 octobre 1980 une explosion retentit qui endommage le supermarché suisse au centre de Londres. La responsabilité pour l’explosion a été prise par « L’organisation du 3 octobre».
Le lendemain l’explosion a retenti dans une autre capitale européenne, notamment à Paris où a été endommagé l’immeuble de l’office du tourisme suisse. «L’organisation du 3 octobre» prend de nouveau la responsabilité pour l’attentat.
Grâce à une haute vigilance, on a pu éviter un autre attentat le 21 octobre 1980. Une bombe à retardement non-explosée a été retrouvée dans le train suisse Paris-Interlaken.
Le 4 novembre 1980, l’immeuble du tribunal suisse à Genève a été gravement endommagé en résultat d’une explosion. La responsabilité pour l’explosion a été prise par « L’organisation du 3 octobre».
Le 10 novembre 1980, cinq personnes reçoivent des blessures à la suite des explosions dans les bureaux suisses de la compagnie aérienne cargo à Rome et du bureau touristique suisse. La responsabilité pour l’explosion a été prise tout de suite par « L’organisation du 3 octobre».
Le 25 novembre 1980 le bâtiment de l’ « Union des banques suisses » a été endommagé en résultat de l’explosion à Genève qui a fait une victime. La responsabilité pour l’explosion a été prise par « L’organisation du 3 octobre».
Le 5 décembre 1980 un gendarme à Marseille en France réussit à neutraliser la bombe, posée au consulat suisse.
Le 25 décembre 1980 l’appareil de contrôle de l’installation de radar à l’aéroport Kloten (Zurich) avait été mis hors service. La deuxième bombe, posée sur la piste de l’aéroport a été neutralisée par la police. La responsabilité a été prise par « L’organisation du 3 octobre».
Le 29 décembre 1980 l’explosion a lieu dans le bureau de la compagnie aérienne « Suisse Air» à Madrid. La responsabilité pour l’explosion a été prise par « L’organisation du 3 octobre».
Le 30 décembre 1980 à Beyrouth (Liban) il y a eu des explosions dans les bureaux de « Crédit Suisse». La responsabilité pour l’explosion a été prise par « L’organisation du 3 octobre».
Dans sa déclaration à la presse faite à Beyrouth le 2 janvier 1981, ASALA a menacé les diplomates suisses à travers le monde.
Le 27 janvier 1981 à la suite des attentats le bâtiment de la compagnie « Suisse Air » et le bureau suisse du tourisme à Milan ont été endommagés. Deux passanst italiens ont reçu des blessures. «L’organisation du 3 octobre» a assumé la responsabilité pour l’attentat.
Le 3 février 1981 un détachement spécial de Los-Angeles pour la lutte contre le terrorisme a neutralisé la bombe, posée sous l’escalier à l’entrée du Consulat Suisse. Une personne anonyme a annoncé par téléphone, que c’était le travail de « L’organisation du 3 octobre» et a promis que les actes pareils continueraient jusqu’à ce que les autorités suisses ne libèrent pas Suzi Mahseredjan.
Le 9 juin 1981 le terroriste arménien Martin Djamgotchian a tué Mehmet Savach Erguz, le secrétaire du consulat turc à Genève ; l’assassin arménien a été arrêté par la police. En réponse à l’arrestation de Djamgotchian ASALA a fondé son nouveau groupe nommé « l‘organisation du 9 juin». Ce groupe pratiquait la terreur contre la Suisse et les Suisses. L’assassin Martin Djamgotchian a été héroïsé en diaspora arménienne.
Le 19 juin 1981 l’explosion de la bombe dans l’immeuble du bureau de « Suisse Air » à Téhéran avait causé des dégâts légers. La responsabilité pour l’explosion a été assumée par « L’organisation du 9 juin» du groupe ASALA.
Le 26 juin 1981 il y a eu une explosion à Los Angeles devant le bureau de la Corporation des Banques de Suisse. La responsabilité pour cet acte a été prise par « L’organisation du 9 juin» du groupe ASALA.
Le 19 juillet 1981 une explosion s’est produite dans la poubelle de l’immeuble du Parlement Suisse à Berne. Un personne anonyme a fait savoir par téléphone, que l’ «Organisation du 9 juin » prenait la responsabilité pour cette explosion.
Le 20 juillet 1981 la responsabilité pour l’explosion de la photo cabine à l’Aéroport International de Zurich a été prise par l’ «Organisation du 9 juin».
Le 21 juillet 1981. Cette fois-ci l’explosion a retenti dans le rayon vêtements femmes du grand magasin de Lausanne. 26 femmes ayant reçu des blessures sont devenues victimes des terroristes arméniens. La responsabilité pour l’explosion a été prise par « L’organisation du 9 juin» du groupe ASALA.
Le 22 juillet 1981, quatre personnes ont été blessées à la suite de l’explosion de la bombe, installée à la consigne automatique du dépôt à la gare de Genève.
Le 11 août 1981 le bâtiment de la compagnie « Suisse Air» à Copenhague a été détruit par deux bombes. Un touriste américain était blessé. L’ «Organisation du 9 juin » en était responsable.
Le 20 août 1981 l’«Organisation du 9 juin » a pris la responsabilité pour l’explosion d’un petit dispositif devant l’immeuble des corporations suisses des instruments de précision.
Le 17 septembre 1981 l’«Organisation du 9 juin » a pris la responsabilité pour l’explosion, qui a détérioré l’immeuble de l’Ambassade de Suisse à Téhéran.
Le 3 octobre 1981 la Poste Centrale et le Tribunal de Genève ont été abimés par l’explosion. Le procès d’un assassin d’ASALA devait se tenir dans ce tribunal; en résultat, une personne a reçu des légères blessures. La responsabilité pour cette action a été prise par ASALA.
Le 3 novembre 1981 trois personnes ont reçu des blessures lors de l’explosion devant la compagnie «Suisse Air» à Madrid. La responsabilité pour l’explosion, qui avait abimé les bâtiments voisins, a été prise par ASALA.
Le 17 janvier 1982, deux bombes ont explosé près du parking. L’«Organisation du 9 juin » en était responsable.
Le 10 mai 1982 : deux attentats piégés dans deux banques de Genève, qui ont causé des dégâts matériels considérables. Le groupe arménien se nommant « Organisation de vengeance universelle » a été responsable pour cet acte.
La corporation des banques suisses a été abimée par l’explosion du 26 mai 1982. Quatre arméniens de Californie (Viguen Tcharkhutian, Gratch Kozibukian, Stranitch Kozibukian et Grant Chirinian) avaient participé à cette action. Tous les quatre étaient membres d’ASALA.
Cette liste représente les actions plus ou moins graves, accomplies par des terroristes arméniens contre la Suisse et les citoyens suisses. Les terroristes qui ont entrepris toutes ces actions sont considérés par l’Arménie de nos jours et la diaspora arménienne comme les héros nationaux. Des poètes et écrivains arméniens ne dédaignent même pas leur consacrer leurs œuvres. Des commentaires supplémentaires sont inutiles, semble-t-il. Les faits parlent d’eux-mêmes.
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