« Les victimes de l’occupation des terres azerbaïdjanaises de la part de l’Arménie chercheront la justice et la réparation de dommage dans les tribunaux français », estime le membre du Sénat français Nathalie Goulet.
Des 577 députés du parlement français, ont voté 45 députés, dont 38 étaient « pour » et 7 « contre » l’adoption de la loi, pénalisant d’un an de prison et de 45 000 euros d’amende ceux qui sont contre le « génocide des arméniens ».
En commentant la déclaration récente du député du parti au pouvoir l’UMP Patrick Dévedjian, qui a dit, que la « Turquie était un pays, menaçant le monde entier », N.Goulet a remarqué, que les déclarations pareilles étaient scandaleuses.
« Ce n’est pas admissible, que l’ex-ministre français prononce de telles paroles à l’adresse du pays, ayant des relations diplomatiques avec nous et étant un grand acteur dans la diplomatie internationale », a souligné Goulet.
Selon elle, de la même façon et l’Arménie pourrait être considérée comme une menace.
« Actuellement, l’Arménie continue l’occupation des 20% des territoires azerbaïdjanais et est coupable du massacre à Khodjali », a dit Nathalie Goulet.
« Si le projet de loi sur la pénalisation de la négation « du génocide arménien » est adopté par le Sénat français et est déclaré en tant que loi par la cour constitutionnelle française, je sais exactement, où les victimes de la barbarie arménienne, accomplie sur les terres azerbaïdjanaises, vont demander de la justice — dans les tribunaux français, a dit N.Goulet à Trend au téléphone.
Selon ses paroles, rien ne peut justifier l’agression arménienne contre l’Azerbaïdjan.
Récemment, le 22 décembre, la chambre basse du parlement français a adopté le projet de loi sur la pénalisation de la négation du soi-disant « génocide arménien ».Des 577 députés du parlement français, ont voté 45 députés, dont 38 étaient « pour » et 7 « contre » l’adoption de la loi, pénalisant d’un an de prison et de 45 000 euros d’amende ceux qui sont contre le « génocide des arméniens ».
En commentant la déclaration récente du député du parti au pouvoir l’UMP Patrick Dévedjian, qui a dit, que la « Turquie était un pays, menaçant le monde entier », N.Goulet a remarqué, que les déclarations pareilles étaient scandaleuses.
« Ce n’est pas admissible, que l’ex-ministre français prononce de telles paroles à l’adresse du pays, ayant des relations diplomatiques avec nous et étant un grand acteur dans la diplomatie internationale », a souligné Goulet.
Selon elle, de la même façon et l’Arménie pourrait être considérée comme une menace.
« Actuellement, l’Arménie continue l’occupation des 20% des territoires azerbaïdjanais et est coupable du massacre à Khodjali », a dit Nathalie Goulet.
Les 25-26 février 1992, les forces armées arméniennes avec le soutien du régiment russe n°366, disloqué à Khankendi, ont commis un acte de génocide, accompagné de cruauté particulier à l’égard de la population de la ville azerbaïdjanaise de Khodjali, comptant sept mille d’habitants.
En résultat de l’extermination sanglante de la population civile, 613 personnes ont été tuées, 1000 personnes sont devenues invalides à la suite des blessures par balles. Parmi les tués il y avait 106 femmes, 63 enfants, 70 vieillards. Huit familles ont été exterminées complètement, 25 enfants ont perdu les deux parents, 130 enfants ont perdu un parent. Pendant la nuit tragique, 1275 personnes civiles ont été prises en otages, et le destin de 150 est inconnu.
Le conflit entre deux pays du Caucase du Sud a commencé en 1988 suite aux revendications territoriales de l’Arménie vis-à vis de l’Azerbaïdjan. Le Haut-Karabakh et sept régions avoisinantes —20% du territoire azerbaïdjanais— sont sous l’occupation des forces armées arméniennes.
En mai 1994, les parties ont atteint le régime de cessez-le-feu. Et jusqu’à présent, les négociations de paix sont menées sans résultat, sous l’égide du groupe de Minsk de l’OSCE et avec la coprésidence de la Russie, de la France et des États-Unis.
Les quatre résolutions, adoptées par le Conseil de sécurité de l’ONU, relatives à la libération du Haut-Karabakh et des territoires adjacents occupés ne sont toujours pas suivies par l’Arménie.
Day.az
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