Il est absolument impossible de définir cette année comme positive pour l’Arménie, parce que ce pays se développe consécutivement dans le sens inverse du progrès.
Le politologue Ilgar Velizade l’a dit à Day.az, en commentant le bilan de l’année écoulée pour l’Arménie.
Il a noté, que suivant les experts arméniens, les dernières années en Arménie la situation démographique s’est empirée. La dégradation graduelle de la situation économique est observée, la dette extérieure augmente, la situation écologique s’aggrave.
« Le gouvernement arménien s’est concentré au traitement de ses gisements miniers, qui peuvent aboutir aux problèmes écologiques sérieux. Le manque de progrès dans la question de Karabakh et la politique étrangère nocive de l’Arménie provoque un coup très grave à tous les domaines de l’activité, ce qui augmente l’insatisfaction dans la société. Ce mécontentement prend un caractère de masse. Cela fait croire, que l’année prochaine sera complexe pour l’Arménie. D’autant plus que les élections législatives et présidentielles sont attendues, la tension social croît constamment », a noté l’expert.
Sur ce fond, le politologue fait attention à la paralysie pratique de la politique extérieure de l’Arménie. Elle tourne en rond, a-t-il déclaré.
« L’adoption par le Sénat de la France du projet de la loi sur la criminalisation de la négation du soi-disant « génocide arménien » signifie, que la politique extérieure arménienne ne peut proposer rien de nouveau du point de vue conceptuel. Cela accroît encore plus son isolation, éloigne les perspectives du règlement des questions les plus importantes, autrement dit de la sortie du conflit du Karabakh et du règlement des relations arméno-azerbaïdjanaises, a ajouté I.Vélizade.
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