Le rapport du commissaire pour les droits de l’homme Thomas Hammarberg a été écouté à la réunion de la session d’hiver de l’Assemblée Parlementaire du Conseil de l’Europe, qui a eu lieu le 26 janvier.
Selon l’information d’APA, dans les débats sur le rapport, à la question du membre de la délégation azerbaïdjanaise Ganira Pachayeva, quel dommage peut causer la loi adopté sur le «génocide» à la liberté de la parole et d’expression, Thomas Hammarberg a répondu: «Le secrétaire général du Conseil de l’Europe Thorbjorn Jagland a exposé sa position sur cette question, et je suis tout à fait d’accord avec son opinion. Certainement, ce n’est pas une bonne approche de la part
du sénat français. Cela limite la liberté d’expression. Je supporte tout à fait les paroles du secrétaire général Thorbjorn Jagland en ce qui concerne l’évaluation des questions historiques par les historiens et non pas par des hommes politiques.
Selon l’information d’APA, dans les débats sur le rapport, à la question du membre de la délégation azerbaïdjanaise Ganira Pachayeva, quel dommage peut causer la loi adopté sur le «génocide» à la liberté de la parole et d’expression, Thomas Hammarberg a répondu: «Le secrétaire général du Conseil de l’Europe Thorbjorn Jagland a exposé sa position sur cette question, et je suis tout à fait d’accord avec son opinion. Certainement, ce n’est pas une bonne approche de la part
du sénat français. Cela limite la liberté d’expression. Je supporte tout à fait les paroles du secrétaire général Thorbjorn Jagland en ce qui concerne l’évaluation des questions historiques par les historiens et non pas par des hommes politiques.
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