mardi 31 janvier 2012

Le «génocide arménien» est une machination monstrueuse, fabriquée contre la Turquie

Suite à la récente publication de l’ouvrage d’Yves Bénard « Génocide arménien : Et si on nous avait menti » le site Aze.az présente quelques idées de l’auteur et propose de voir son site http://www.yvesbenard.fr, pour soutenir la pétition afin d’obtenir de la classe politique française, la mise en place d’une commission d’historiens impartiaux qui auront pour mission d’étudier les archives ottomanes et arméniennes et qui devront répondre aux questions suivantes:
- Combien y a-t-il eu de victimes arméniennes pendant la première guerre mondiale?;
- Combien y a t- il eu de victimes arméniennes décédées pendant les transferts et de quelles manières sont-elles décédées? ;
- Combien y a-t-il eu de victimes turques civiles, assassinées pendant cette même période, par le Daschnaksoutioun? ;
- Y a-t-il eu génocide, oui ou non? ;
« Les Turcs sont des victimes de l’injustice profonde. Nous ne parlons jamais de leurs victimes, tandis que nous évoquons celles des Arméniennes plus souvent que les victimes d’Holocauste. Pourtant, les victimes turques sont plus nombreuses. Les membres de l’organisation terroriste arménienne « Daschnaksoutioun » effectuaient le massacre de la population civile turque, en tuant ainsi quelques centaines de milliers de victimes innocentes. Toutes les victimes sont égales devant le Dieu. Les victimes turques devraient être reconnues et acceptées en France aussi bien que toutes les autres victimes.
Les officiers russes, témoins des massacres des civils turcs effectués par les Arméniens, les qualifient comme le génocide. Monsieur Ovanes Katchznouni, premier-ministre arménien de l’époque, dirigeant du parti arménien « Daschnaksoutioun » et monsieur Pierre Loti, qui ont joué un rôle important dans les événements de la première guerre mondiale en Empire Ottoman, ont réfuté le « génocide arménien ».
« Je suis convaincu, que depuis la sortie du livre d’Ovanes Katchaznouni, dans lequel les faits rapportés sont en contradiction avec la thèse arménienne, les organisations de lobbying arméniennes sont moins virulentes qu’avant. J’en veux pour preuve qu’à Paris, pendant l’illumination, de la Tour Eiffel aux couleurs de la Turquie, les Turcs ont pu faire la fête sans être dérangés. Je ne crois pas que cela aurait été possible avant la réapparition de ce livre.
Le «prétendu génocide arménien » est une machination terrible, fabriquée contre la Turquie par le gouvernement de l’Empire Britannique, la Russie de tsar et la majorité des grandes puissances européennes, parmi lesquelles était la France, qui avait besoin de ce « génocide » pour justifier la défaite de l’Empire Ottoman agonisant. De cette manière, elle a vengé les 6 siècles d’humiliation passés à l’ombre de ce pouvoir puissant. Sans parler de l’amertume constante, causée par la prise de Constantinople le 29 mai 1453 de la part du Sultan Mehmet II Fatikh, qui a mis fin au pouvoir de 1000 ans du christianisme orthodoxe par la transformation de la capitale de Byzance en capitale musulmane. La vengeance est un plat qui se mange froid.
Les Arméniens, spécialistes dans l’art de manipuler une information, ont bien joué leur rôle. Le « génocide » a apparu très vite avec les 400 000 victimes. Plus tard ce chiffra a augmenté. Á présent, il a atteint 1,5 millions et avance vers 2 millions.  Il est l’heure d’arrêter ce bal masqué, qui n’a plus aucune raison d’exister. Les preuves de l’innocence de la Turquie sont gardées aux archives arméniennes, russes, anglaises, françaises et d’autres.
C’est l’heure d’assurer la justice aux Turcs
La tragédie arméno-turque n’a pas dérogé les règles universelles de guerre. Comme dans tous les conflits, les deux côtés commettaient des cruautés.
« Il est évident, que j’ai écrit mon livre pour essayer d’éclairer les Français, à qui on ment depuis presque un siècle sur le déroulement réel de la tragédie turco-arménienne. D’une part, en occultant complètement les massacres commis par les Arméniens sur les populations civiles turques. Et d’autre part, en évoquant constamment ce « prétendu génocide arménien », « ce bourrage de crane »  a parfaitement réussi, car pratiquement tous les Français sont absolument certains, que les Ottomans sont coupables de ce crime odieux. C’est donc à eux que mon livre s’adresse en premier… Je cible les Français, ce sont eux qui ont besoin d’être convaincus. J’espère être entendu », déclare Yves Bénard.
Il est annoncé sur le site de l’écrivain, que « suite à la pression des Arméniens, le livre prouvant la falsification du « prétendu génocide arménien » ne pouvait pas voir le jour :  J’explique les 45 refus de maisons d’éditions françaises, parce que j’estime que 90 % des Français sont convaincus que les Ottomans sont coupables de génocide. La peur de représailles vient très loin derrière. Cette censure non dite, mais bien réelle vient, à mon avis, de cette certitude des Français de la culpabilité des Turcs, avec en plus, le rôle de victimes que ce sont donnés les Arméniens aux yeux des Français ».
Yves Bénard note, que ce livre est écrit pour condamner les meurtres des civils turcs par les membres des groupes terroristes arméniens, qui avaient tué des centaines de milliers de personnes, mais dont ils ne parlent jamais ; pour dire oui, beaucoup d’arméniens avaient été tuées par les Turcs, mais les Arméniens ont vengé leurs hommes ; pour démontrer, que la tragédie turco-arménienne avait eu lieu, et non pas le génocide. Ce livre n’est pas écrit pour déclarer la guerre aux arméniens, mais pour appeler aux excuses mutuelles et la réconciliation entre deux peuples et deux pays. Nous devons différer les membres des organisations « Daschnaksoutioun » et « Gntchak » qui étaient fanatiques sanguinaires de la plupart des arméniens qui souhaitent vivre dans la paix.

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