vendredi 5 août 2011

VAHAKN DADRIAN EST UN EXPERT SUR LE GENOCIDE OU UN MANIAQUE SEXUEL?

L’Arménie et la diaspora arménienne ont plusieurs « héros ». Ce sont des terroristes, tueurs d’enfants, et des commandos d’ASALA, et des politiciens démagogiques et des pseudo-savants, essayant de prouver jusqu’en perdre la voix «l’ancienneté » de tout ce qui est arménien.
L’un des savants arméniens « renommés », élevés au niveau du héros national est Vahakn Dadrian, professeur de sociologie américain d’origine arménien.
V. Dadrian est né en 1926 à Istanbul. Il a étudié en Europe et  en 1947 a émigré aux Etats-Unis, où en 1961 il a reçu la citoyenneté. Là, il est devenu professeur de sociologie à l’Université de New-York. Jusqu’au début des années 90 V.Dadrian enseignait dans de différents  établissements des Etats-Unis.
Dadrian est l’auteur d’un certain nombre de livres et d’articles sur le sujet du « génocide arménien ».
L’authenticité des « faits, décrits dans ses ouvrages est une question à part, demandant un examen plus détaillé, car Dadrian est connu par sa pratique de déformation volontaire des traductions dans le travail avec les sources. A part cela, Il utilise souvent des citations et des faits, arrachées du contexte, ce qui contredit, sans aucun doute, à l’éthique académique.
V.Dadrian est partisan et défenseur de la version marginale des soi-disant télégrammes de Talaat pacha (mémoirs de Naïm-bey). Bien que ces « matériaux » (matériaux d’Andonian) ne soient pas pris au sérieux dans les milieux académiques, Dadrian continue d’affirmer et de « prouver » la crédibilité des matériaux « andoniens ».
L’analyse de l’activité scientifique de Dadrian par Gunter Levi, professeur d’histoire de l’Université de Massachusset, l’amène à la conclusion, que les méthodes de travail de Dadrian ne correspondent pas à l’éthique scientifique et que Dadrian ne peut pas être considéré comme scientifique.
Malgré le dilettantisme non-dissimulé de Dadian, dans certains milieux il est connu en tant qu’«expert respecté».
Le métier de Vahakn Dadrian est attaché à un but : propagande du pseudo-génocide arménien. Pour cette activité il utilise largement la littérature propagandiste, dont il est l’auteur.
Cependant, les talents de V. Dadrian ne se limitent pas seulement de la création et la diffusion des matériaux propagandistes. A un âge avancé Il a pu également se distinguer par d’autres « talents ».
Notamment, en 1991, Dadrian avait été licencié du Collège Geneseo suite à l’agression sexuelle à l’égard d’une étudiante de 18 ans. Lors de l’enquête il a été précisé que déjà en 1981 Dadrian avait excellé dans ce domaine.
Il y a eu quatre cas de harcèlement sexuel de la part de Dadrian.
Six cent personnes, y compris cent professeurs, ont signé la pétition demandant de « préserver les étudiants des harcèlements sexuels, éventuels au futur, de la part du professeur Dadrian ».
Le fait est d’autant plus intéressant que le 24 avril,  le jour des manifestations arméniennes à l’occasion de l’anniversaire du « génocide des arméniens», le professeur Dadriyan agressait sa jeune étudiante. Ce fait est symbolique et illustre d’une façon excellente l’approche du savant sur le problème du « génocide des arméniens ».
Ce fait a mis fin à l’activité académique de Dadrian. Pas un seul établissement éducatif ou scientifique qui ait voulu avoir affaire avec un maniaque sexuel en la personne de Dadrian.
Malgré cela, Dadrian ne restait pas longtemps en dehors du travail. Il a été ramassé de l’arrière-cour du milieu académique par la diaspora arménienne en la personne de l’Institut de « Zoryan » (The Zoryan Institute).
Dadrian a été nommé chef du Centre New-Yorquais pour l’étude du « génocide arménien ». Le centre avait été créé par l’institut de Zorian en vue de propagande et de promotion plus professionnelle de la griffe principale arménienne, c’est-à-dire du «génocide arménien».
Dès lors Dadrian est très chargé de la « justification scientifique du fait du génocide des arméniens ». N’ayant pas la possibilité de donner des conférences dans les meilleurs établissements éducatifs d’Occident, Dadrian l’équilibre par les conférences à Erevan et sur les territoires occupés azerbaïdjanais. Lors de ces conférences, Dadrian parle aux arméniens du « génocide des arméniens», se servant de la littérature propagandiste de mauvaise qualité de sa propre production.
Il est intéressant, qu’après son licenciement honteux du Collège, Dadrian a gagné la grâce de la diaspora arménienne et ensuite de l’état arménien. La diaspora et les autorités lui ont décerné des prix, des primes et des décorations diverses. Même le président de l’Arménie, Serge Sargsian, a décidé de récompenser « le savant vénérable» et «l’expert renommé» par la prime présidentielle.
Autrement dit, le cas de Dadrian est un exemple frappant, démontrant, comment la diaspora et les autorités arméniennes peuvent créer un « héros national » à partir d’une personne expulsée de la vie académique.
Il est important de souligner, que le portrait de Dadrian ne serait pas achevé, si on ne le complétait pas de détails consistant de ses expressions racistes à l’adresse des turcs dans les médias arméniens.
Cela ne m’étonne pas, que l’expert principal arménien sur le « génocide arménien » soit un simple falsificateur et raciste qui harcèle les jeunes filles le jour de l’anniversaire de ce même génocide.
De quoi s’étonner ? Si on a assez d’insolence et d’hypocrisie de faire passer les kurdes tués par les arméniens pour les arméniens tués par les turcs, pourquoi alors ne pas présenter entièrement son image morale, en s’occupant de l’agression sexuelle le jour du 24 avril…

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