lundi 26 septembre 2011

L’Ambassade de la République d’Azerbaïdjan en France éclaircira la situation relative à l’action, liée aux séparatistes « RHK »

Le MAE d’Azerbaïdjan a chargé notre Ambassade en France de la mission, concernant la tenue à Marseille de l’action, consacrée au régime séparatiste au Haut Karabakh.
Cette information avait été communiquée par Elman  Abdullayev, représentant officiel du Ministère des Affaires Etrangères.
Remarquons que, selon les médias arméniens, dans la Bibliothèque Nationale de la ville de Marseille en France, une action a eu lieu, consacrée au régime séparatiste au HK, dont les organisateurs étaient la mairie de Marseille et le conseil de coordination des organisations arméniennes de France.
Les députés de l’Assemblée Nationale française ont pris part dans cette action : l’adjoint au chef de la délégation française de l’OSCE, Roland Blum, premier vice-maire de Marseille, Valérie Boyer, vice-maire de Marseille, Richard Malier, Guy Teissier, François Rochbloin, ainsi que les représentants des autorités régionales et urbaines, les notables, la diaspora arménienne et les journalistes.L’Ambassade de France en Azerbaïdjan a refusé de commenter à 1 news cette information, diffusée par les médias arméniens.
Rappelons que le conflit arméno-azerbaïdjanais de HK, provoqué par les séparatistes arméniens, avait commencé par les revendications non-fondées sur l’attachement de la région autonome de Haut-Karabakh de la RSS d’Azerbaïdjan à la RSS d’Arménie en février 1988.
Ces revendications avaient suscité la déportation forcée de 200 mille d’habitants azerbaïdjanais par les séparatistes. La guerre sanglante avait été déclenchée suite à l’agression de l’Arménie contre l’Azerbaïdjan.
Après l’effondrement de l’URSS, dans les années 1992-1994, près de 40 000 personnes avaient été tuées et plus d’ 1 million d’azerbaïdjanais sont devenus réfugiés et déplacés. Plus de 20% du territoire azerbaïdjanais avait été occupé : le Haut Karabakh et 7 régions voisines.
Les 4 résolutions adoptées par le Conseil de sécurité de l’ONU relatives à la libération du Haut Karabakh et des régions voisines ne sont toujours pas suivies par l’Arménie.
Les parties ont atteint le cessez-le-feu en mai 1994.
Actuellement, les négociations se poursuivent entre les parties par l’intermédiaire du groupe de Minsk de l’OSCE, dont les co-présidents sont les représentants de la France, des Etats-Unis et de la Russie.

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