«Nous soutenons de nouvelles idées créatives de la jeunesse dans le domaine des nouvelles technologies, – poursuit la première dame de l’Azerbaïdjan. – Une initiative internationale sera réalisée en novembre courant : réseau des jeunes entrepreneurs pour les pays de l’organisation de la conférence islamique. On l’attend avec impatience, car il aidera la jeunesse à résoudre plusieurs problèmes, tels que la baisse du chômage parmi les jeunes dans les pays musulmans, radicalisation, extrémisme et les crimes.
Ambassadrice de bonne volonté de l’UNESCO et de l’ISESCO, président de la Fondation Heydar Aliyev et député du Parlement azerbaïdjanais Mehriban Aliyeva a pris la parole à la 11e réunion des ambassadeurs de bonne volonté de l’UNESCO. Elle a salué tous les participants de la réunion, ayant remercié sincèrement Mme Bokova pour l’organisation de cette réunion. Elle a dit que c’était un grand honneur pour elle de présenter l’Azerbaïdjan, de se trouver parmi nos amis et collègues.
M. Aliyeva a évoqué la Journée de l’Azerbaïdjan, organisée au siège de l’UNESCO, consacrée au 20e anniversaire de l’indépendance de l’Azerbaïdjan. « Au cours de ces années notre pays a rencontré beaucoup de difficultés et de problèmes. Pourtant, nous nous en sommes sortis avec honneur et avons créé un état indépendant. Aujourd’hui, l’Azerbaïdjan est un pays moderne, se développant dynamiquement dans toutes les sphères de la vie, y compris la culture, la science et l’enseignement. En même temps, l’économie de l’Azerbaïdjan se développe rapidement, notre pays est leader absolu de la région sur le plan économique».Selon les paroles de M. Aliyeva, « un partenariat étroit s’est formé entre l’UNESCO et l’Azerbaïdjan. L’UNESCO élargit la coopération non seulement avec l’administration, mais avec les organisations non-gouvernementales également, ainsi qu’avec la Fondation Heydar Aliyev ». Elle a constaté qu’en Azerbaïdjan sont organisés les festivals de musique, les conférences internationales avec l’aide de l’UNESCO et de la Fondation Heydar Aliyev, sont créés de nouveaux centres culturels et des musées.
M. Aliyeva a parlé des projets de notre gouvernement tels que développement de l’enseignement, conservation de l’héritage culturel, communs à toute l’humanité et le problème principal est d’éduquer les enfants des pays pauvres et des familles en difficultés. Elle a souligné que « le sujet de la réunion actuelle était consacré aux engagements pris par l’UNESCO dans le domaine des cataclysmes et des conflits, et que l’Azerbaïdjan connait ces problèmes de son expérience. Le conflit arméno-azerbaïdjanais et du Haut Karabakh n’est toujours pas réglé. La plupart des terres du pays sont sous l’occupation. Plus d’un million d’azerbaïdjanais sont privés de possibilité de rentrer vers leurs foyers. La nouvelle génération d’enfants, née et grandie dans les camps des réfugiés et des rescapés, a l’information sur leur patrie de leurs pères et grands-pères. Ces enfants ont le droit à l’enseignement et le secours médical, au développement et au futur heureux ».« C’est pourquoi, —a-t-elle continué, — nous comprenons et partageons les souffrances de tous les peuples, qui ont éprouvé des conflits militaires et des cataclysmes. Un autre problème très important et compliqué consiste en conservation des monuments historiques dans les zones des conflits. Ces monuments ne sont pas conservés et dans plusieurs cas sont démolis. La conservation et la protection de cet héritage sont prioritaires.
Ensuite, Mehriban Aliyeva a noté une série d’initiatives réalisées en Azerbaïdjan relatives à « l’alliance des civilisations ». Suite au forum, passé à Bakou avec le soutien de la Fondation Heydar Aliyev et des organisations internationales en novembre 2007 « Jeunesse au nom de l’alliance des civilisations », les jeunes leaders ont soutenu à la première réunion d’avril la proposition de créer le Mouvement global de la jeunesse après quatre ans de travail dur.
L’ambassadrice de bonne volonté prête une grande attention au rôle de la femme dans la vie sociale et culturelle. Un programme spécial est élaboré, intitulé « Les jeunes femmes dans le dialogue interculturel ». Comme l’a précisé M. Aliyeva, ce travail avait commencé en juin 2008 à Bakou, au Forum International, organisé par l’Unesco et l’Isesco.
En conclusion, Mehriban Aliyeva a souhaité à chaque participant des succès dans leur tâche importante et indispensable.
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