jeudi 13 octobre 2011

Une crise éventuelle dans les négociations

Le Vice-Ministre des Affaires Étrangères d’Azerbaïdjan, Araz Azimov, a déclaré à l’édition  ukrainienne «Le jour», que le règlement des relations entre l’Azerbaïdjan et l’Arménie à la base des principes du droit international est l’objectif principal de la sortie du conflit.

Cela signifie, selon lui, la reconnaissance inconditionnelle de l’intégrité territoriale de l’Azerbaïdjan, dont 20% du territoire sont actuellement occupés.

1news.az informe, que d’après le vice-ministre, l’Azerbaïdjan est prêt à continuer d’appliquer tous les efforts politiques pour régler le conflit. Il constate l’absence des résultats des pourparlers qui se passent dans les cadres du groupe de Minsk et les derniers temps avec la participation active du Président de la Russie, Dmitri Medvedev. Il espère que la Russie corrigera ses actions suite aux résultats de la rencontre des présidents Aliyev et Medvedev en août courant à Sotshi et essayera d’activer le processus.

A. Azimov a souligné, que la partie arménienne tâche de provoquer spécialement une crise dans les négociations. Cela concerne l’achat des armements à la Moldova par l’intermédiaire des compagnies baltes et leur intention de faire venir prochainement les soldats de la paix par analogie avec les événements de Géorgie en août 2008. Selon les paroles du vice-ministre, l’Azerbaïdjan n’est pas intéressé aux crises : «Nous sommes intéressés aux accords convenables, qui assureraient l’intégrité de notre territoire, le retour de la population, la restauration des communications et l’instauration de la coopération avec les voisins et, par la suite, le règlement des problèmes politiques.

En répondant à la question, si l’Azerbaïdjan considère nécessaire de changer le format des négociations et chercher d’autres terrains pour la sortie du conflit, Araz Azimov a remarqué, que c’est le groupe de Minsk de l’OSCE qui s’occupe du conflit du Haut-Karabakh. IL agit conformément à l’Acte de Helsinki de 1975. Le groupe de Minsk assure la souplesse, qui peut permettre la participation des populations du Haut-Karabakh, azerbaïdjanaise et arménienne, dans les pourparlers.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire