L’article intitulé « Oh, qu’elle est belle l’Azerbaïdjan » commence par la phrase : « Ni les États-Unis, ni la Chine, ni la Russie ne dominaient pas au Forum Économique International à Davos en 2012.
« Il est impossible de ne pas remarquer l’Azerbaïdjan et sa délégation de sept personnes, comprenant le Président, les ministres et les cadres supérieurs. Le président Ilham Aliyev cherche de l’attention et la trouve », note le journal.
« Il est impossible de ne pas remarquer l’Azerbaïdjan et sa délégation de sept personnes, comprenant le Président, les ministres et les cadres supérieurs. Le président Ilham Aliyev cherche de l’attention et la trouve », note le journal.
Le long de la rue centrale de Davos « Promenade », à l’intérieur du funiculaire « Shatzalp », au centre des congrès— partout il y a des affiches démontrant la beauté « du pays des couleurs magiques », de l’Azerbaïdjan, remarque l’auteur de l’article.
« L’Azerbaïdjan est aussi une partie officielle du programme du Forum. Ce pays est un partenaire stratégique et il a son propre panel de discussion. La président Ilham Aliyev intervient dans la discussion sur le sujet « L’avenir de l’Eurasie ». L’Azerbaïdjan « est présent » même à l’hôtel, où loge sa délégation. Dans le hall de l’hôtel il y a du matériel intitulé « Investissement en Azerbaïdjan. Participez à la création de l’état moderne ». Un paquet spécial d’Azerbaïdjan attend les invités du Forum dans les chambres de l’hôtel. Ce paquet contient trois disques de mugham de Karabakh, trois DVD sur les tapis azerbaïdjanais, six plaquettes sur l’histoire, la culture, l’architecture, la cuisine et 20 cartes postales, ainsi que l’invitation à la soirée azerbaïdjanaise à l’hôtel «Schweitzerhof».
« L’Azerbaïdjan avance sûrement en direction de l’Europe », écrit la publication de Frans-Eric Bilges, auparavant membre de la rédaction du journal « Bild », qui dirige actuellement l’agence Consultum Communications et consulte l’Azerbaïdjan.
« Ici, la situation est similaire à celle des pays du golf Persique : l’Azerbaïdjan est riche grâce à ses réserves de pétrole et de gaz. Pourtant, l’économie doit se diversifier. Aujourd’hui, la compagnie nationale de pétrole et de gaz SOCAR produit la grande partie du potentiel économique du pays. On s’occupe du développement d’autres industries, telle que construction mécanique, technologies informatiques et tourisme », note l’édition allemande.
« Il faut faire un long chemin pour être dans un rang avec Dubaï ou Singapour et, en premier lieu, il est nécessaire d’attirer les investisseurs étrangers », cite Handelsblatt la brochure contenant des informations sur l’Azerbaïdjan.
« Il faut faire un long chemin pour être dans un rang avec Dubaï ou Singapour et, en premier lieu, il est nécessaire d’attirer les investisseurs étrangers », cite Handelsblatt la brochure contenant des informations sur l’Azerbaïdjan.
« Le Forum est une place idéale pour la recherche des investisseurs sérieux. Durant 5 jours, les rencontres de l’élite politique et économique avaient lieu ici. C’est pourquoi, le consultant du pays Bilges est content de voir dans la salle la plupart des invités influents de la soirée azerbaïdjanaise. Le chef de Deutsche Bank Akermann et son successeur Jurgen Fitschen assistent à la manifestation, Heinrich Hiesinger, directeur de la compagnie Thyssen-Krupp, Jurgen Grosmann du consortium RWE assistent aussi à la soirée », écrit Handelsblatt.
Il est souligné dans l’article, que la dépendance du gaz et du pétrole russe peut être moins importante grâce à Nabucco, dans lequel la participation de l’Azerbaïdjan est un moment important.
« Le dernier jour à Davos les Azerbaïdjanais paraissent satisfaits. Ils ont pu établir des contacts importants et sont de nouveau au centre de l’attention. Quelques centaines d’invités sont venus à la réception azerbaïdjanaise pour goûter les spécialités du pays et écouter de la musique traditionnelle.
Le banquier de Tunis, le gestionnaire principale des États-Unis et l’entrepreneur de l’Inde se mettent d’accord sur le goût délicieux de l’agneau et du poulet. Mais ce compliment ne serait pas entendu par la président Aliyev, qui déjeunait avec le chef du Forum économique Mondial professeur Klaus Schwab dans une autre salle. Ils avaient des sujets à aborder », note le journal.« Le dernier jour à Davos les Azerbaïdjanais paraissent satisfaits. Ils ont pu établir des contacts importants et sont de nouveau au centre de l’attention. Quelques centaines d’invités sont venus à la réception azerbaïdjanaise pour goûter les spécialités du pays et écouter de la musique traditionnelle.
« Les bases sont jetées ici, dit dans l’interview au journal Adil Mamedov, chef de l’agence d’investissement AZPROMO. —La première année à Davos est une sortie sur l’arène internationale ».
Selon ses paroles, le début est réussi. Cela veut dire, qu’on va poursuivre cette pratique de participation au Forum.
Selon ses paroles, le début est réussi. Cela veut dire, qu’on va poursuivre cette pratique de participation au Forum.
« Un autre membre de la délégation fait part da la visite prochaine du président Aliyev en Allemagne. Là, il participera à la Conférence de Munich sur la Sécurité. Après tout, le chemin vers l’Europe passe par l’Allemagne. Celui qui est à l’honneur ici, est reconnu dans le monde entier», résume le journal.
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